Nathalie OLIVIER’S Post See other posts by Nathalie Cycle 1 - Fonce à ton rythme » - un projet bien réel, soutenu et accompagné par l'Académie de Paris Cette école maternelle accueille un public très hétérogène avec une proportion importante d’élèves allophones. Une diversité comme un atout culturel mais qui engendre aussi des difficultés d’organisation et d’apprentissage. Les différences entre les élèves d’un même niveau sont très marquées. Depuis six ans l’équipe pédagogique a fait le choix de tester de nouvelles pratiques en s’inspirant de plusieurs courants pédagogiques tout en partant d’un principe de base s’adapter au rythme de chacun. Le point le plus révélateur de cette réorganisation a été la mise en place progressive de classes multiniveaux, petits-moyens ou petits-moyens-grands. La classe est organisée par pôles d’activités afin de permettre aux enfants de se repérer seuls et de faire leurs choix facilement. Les élèves sont invités à être pleinement acteurs dans leur classe en étant responsables du rangement et de l’entretien de ce matériel. Les élèves pratiquent le tutorat, s’expliquent les activités et peuvent s'interroger entre eux. Ces groupes à géométrie variable créent un vrai lien dans la classe, entre les âges, et permettent un apprentissage s’appuyant sur l’erreur, la validation par les pairs. Ces pratiques n’effacent pas l’enjeu de l’entrée au cours préparatoire. Sont instaurés des moments de regroupement, des rituels et du travail sur table afin d’amorcer une transition vers un fonctionnement plus classique. Le climat de la classe est plus serein et la sensation de courir après les progressions est bien moindre. Le sentiment d’efficacité et de satisfaction des enseignantes de fournir à chaque élève ce dont il a besoin est bien réel Ce sont des élèves à la fois autonomes, cadrés et apaisés qui arrivent à l’école élémentaire voisine. Pour voir la vidéo Académie de Paris MonEcoleDuFutur Une cour d’école inspirante, résiliente, conviviale et ouverte sur le quartier » - un projet bien réel, soutenu et accompagné par l’académie de Grenoble. Pour rénover entièrement l’ancienne cour de cette école de centre-ville, lieu de cristallisation de problématiques multiples, l’enjeu a été de travailler avec les usagers et toutes les parties prenantes sur l’ensemble des étapes du projet, du diagnostic à la réalisation finale, en n’oubliant personne et surtout en plaçant les besoins des élèves au cœur du projet. Des ateliers chamboule-tout » ont permis d’ouvrir le champ des possibles en décloisonnant l’imaginaire et d’envisager des solutions nouvelles et potentiellement décalées, voire disruptives. Résultat une cour végétale et une prairie partagée avec les habitants du quartier, la végétalisation de larges surfaces avec la plantation de plus de 30 arbres, le remplacement du bitume noir par un support gravillonné clair et perméable, des puits de récupération de l’eau de ruissellement, une arène sportive recouverte de pelouse synthétique, des éléments de mobilier en bois, large blanc circulaire surmonté d’une pergola, table de pique-nique, tunnel et longue vague de détente ou de jeu réalisés par les ateliers de la ville. En plus de la créativité, de l’originalité et de la pertinence de la réponse, ce projet, résolument inscrit dans une démarche collaborative incluant les enfants, a créé une dynamique très positive, enthousiaste et transversale au sein de toutes les communautés participantes. Lire l'article Académie de Grenoble MonEcoleDuFutur 🔍 Avez-vous l'habitude de plaisanter au travail? Selon un sondage LinkedIn, 69% des professionnels considèrent que cela détend l'atmosphère contre 23% pour qui cela révèle un manque de professionnalisme. Pour 78% des répondants, l'humour est l'émotion la moins valorisée au bureau. 👉 C'est en Inde et en Italie que l'on rigole le plus, avec plus d'un tiers des salariés 38% qui blaguent au moins une fois par jour. Les Australiens sont les moins drôles 29%, derrière les Allemands 36 %, les Britanniques 34 %, et les Français 32 %. 👉 De manière générale, près de huit Français sur dix reconnaissent l'importance d'exprimer ses émotions au travail pour être soi-même. Les membres de la Génération Z59% et les Millenials 46% sont les plus enclins à exprimer leurs ressentis librement. 🎙 Et vous, exprimez-vous vos émotions au travail? Réagissez en commentaires. ✍️ Gaëlle Coursel [Témoignage] Dans le cadre des opérations de mobilité 2022, un mouvement sur postes à profil PoP a été créé au niveau national pour le premier degré, et développé pour le second degré outre des mouvements spécifiques nationaux - CPGE, BTS, etc.. Ce mouvement PoP permet d’obtenir une mobilité hors barème. Nous vous proposons d'écouter l'expérience de David, professeur du 1er degré qui a participé au mouvement "postes à profil" PoP. Avec le mouvement PoP, il a décidé de rejoindre une équipe dans l’Orne où il fera classe à 50% à des élèves allophones nouvellement arrivés EANA et des enfants issus de familles itinérantes et de voyageurs EFIV et en étant également à 50% coordonnateur de réseau d'éducation prioritaire REP. MouvementPoP Mobilité Personnalisation Elle aurait eu 72 ans. Je n’ai plus de parents. J’ai perdu mon père alors que j’avais 18 ans d’une crise cardiaque quand il a pris sa retraite. La mort a emporté ma mère dans mes bras, suite à un cancer qu’elle a déclenché suite à la liquidation de la société familiale. Lors de mon expérience de manager chez Lidl, on m’a reproché “d'avoir tout le temps de sourire, c’est impossible, c’est suspect”. oui ils sont très forts en management ! Steve Job l’avait écrit mieux que moi Quand j’avais 17 ans, j’ai lu une citation qui disait Si vous vivez chaque jour comme si c’était le dernier, un jour vous aurez certainement raison. » Cela m’a marqué, et depuis 33 ans, je me regarde dans le miroir tous les matins et je me pose la question Si aujourd’hui était le dernier jour de ma vie, voudrais-je faire ce que je vais faire aujourd’hui ? » Et chaque fois que la réponse est Non » pendant trop de jours d’affilée, je sais que j’ai besoin de changer quelque chose.... Se rappeler que, bientôt, je serai mort, c’est l’outil le plus important que j’ai trouvé pour prendre de grandes décisions dans ma vie, car presque tout les attentes d’autrui, l’orgueil, la peur du ridicule ou de l’échec cesse d’exister devant la mort il ne reste que le plus important.» Voilà pourquoi je souris tout le temps. Ne vous encombrez pas. Faites-moi plaisir, la prochaine fois qu’un client ou qu’un manager vous met la pression, que vous vous comparez aux autres sur Linkedin et que vous stressez de ne pas faire du contenu à la hauteur des autres, qu’on vous reproche une erreur ou un échec, rappelez-vous que ça n’est que du business. Le plus important c’est les gens que vous aimez. Alors ce soir, ne faites pas d’heures supplémentaires, posez ce dossier je vous garantis qu’il attendra, allez jouer avec vos enfants, allez embrasser votre partenaire et lui dire combien vous l’aimez, ou allez profiter d’un coucher de soleil peinard loin de tout faites ce que vous feriez si c’était le dernier jour. Maman, ce soir ça sera champagne ! Je t’aime La vie est bien trop courte pour perdre son temps à se faire une place là où l’on en a pas, pour démontrer qu’on a ses chances quand on porte tout en soi, pour s’encombrer de doutes quand la confiance est là, pour prouver un amour à qui n’ouvre pas les bras, pour performer aux jeux de pouvoir quand on n’a pas le gout à ça, pour s’adapter à ce qui n’épanouit pas. La vie est bien trop courte pour la perdre à paraître, s’effacer, se plier, dépasser, trop forcer. Quand il nous suffit d’être, et de lâcher tout combat que l’on ne mène bien souvent qu’avec soi, pour enfin faire la paix, être en paix. Et vivre. En faisant ce qu’on aime, auprès de qui nous aime, dans un endroit qu’on aime, en étant qui nous sommes, Vraiment. » De Alexandre Jollien, philosophe et écrivain suisse. Explore topics