Filsde la lumiĂšre. Lettre aux Thessaloniciens 5, 5-8. Vous ĂȘtes tous des fils de la lumiĂšre, des fils du jour ; nous n'appartenons pas Ă  la nuit et aux tĂ©nĂšbres. Alors, ne restons pas endormis comme les autres, mais soyons vigilants et restons sobres. Ceux qui dorment dorment la nuit ; ceux qui s'enivrent sont ivres la nuit, mais nous Courbez la tĂȘte, cette porte est trĂšs basse par cette premiĂšre parole, adressĂ©e au novice, la cĂ©rĂ©monie d’initiation se place d’emblĂ©e sous le signe de l’inflexion. Le grand expert fait ressortir l’impĂ©trant, le confronte avec le premier Ă©lĂ©ment, puis le ramĂšne. Courbez-vous cette porte est trĂšs basse. Le myste vient de vivre l’épreuve de la Terre. Il lui est rappelĂ© qu’il en est le fils il en vient, il y retournera. Et Ă  ce fils de la Terre humus en latin il est demandĂ© de montrer de l’ humilitĂ© par son inclination. Le nĂ©ophyte entend Courbez-vous, cette porte est trĂšs basse ». HĂ©sitera-t-il? Peut-il douter que l’entre-deux par lequel il doit passer pour franchir le seuil ne soit pas ce qu’on lui dit ? Depuis son obscuritĂ©, le rĂ©cipiendaire fait confiance Ă  la parole dans la lumiĂšre. Alors il se baisse, par acceptation que la porte soit basse; en rĂ©alitĂ© ou symboliquement. C’est CELA l’humilitĂ©, se baisser non pour se faire petit, mais pour faire confiance Ă  l’autre; pour laisser place Ă  la parole d’un autre qui sait mieux, qui guide, qui indique, qui dit. C’est l’humilitas selon Spinoza et non la micropsuchia se minimiser d’ n’est pas le mĂ©pris de soi, mais une connaissance de soi et une re-connaissance de l’ se baissant le futur maçon rend sensible sa confiance sous forme d’un acte qui n’est pas obĂ©issance mais entendement et comprĂ©hension. Il se met en relation avec une forme du monde qui l’environne; il s’y adapte, il tient compte de ce qui lui est extĂ©rieur en se modifiant pour se conformer Ă  une unitĂ© harmonique. L’humilitĂ© est ainsi une conscience extrĂȘme de ses limites. Je suis trop grand pour une porte plus basse que moi, ce n’est pas la porte que j’agrandis, car je ne le peux, c’est moi que je diminue pour me placer avec juste mesure dans l’espace que je traverse. Ainsi l’humilitĂ© vĂ©cue par le profane n’est pas une humiliation. C’est une Ă©preuve de savoir-faire par une rĂ©ponse de rĂ©alitĂ© adaptĂ©e Ă  une parole qui ne commande pas mais recommande. Baissez-vous, la porte est basse et si je me baisse pour passer il y a alors une relation de qualitĂ©, de sujet Ă  sujet, qui Ă©change des informations constructives. Il est indiquĂ© que la porte est basse. Une raison est donnĂ©e qui explique pourquoi il faut se baisser, il s’agit de pouvoir passer sans se faire mal. Et le rĂ©cipiendaire qui vient juste de se baisser, pour toucher la terre, rĂ©pĂšte son mouvement pour avancer. Il se protĂšge en se rapprochant de l’humus et se prĂ©sente ainsi dans une position fƓtale pour aller vers sa renaissance. Baissez-vous, c’est comme l’invitation Ă  naĂźtre, Ă  se baisser pour vivre debout; baissez-vous cela s’entend, en ce temps initial, comme une indication du moment Ă  renaĂźtre. Allez maintenant, sortez de la matrice obscure pour pĂ©nĂ©trer dans la loge-mĂšre. Franchissez cette limite au-delĂ  de laquelle il y a votre devenir franc-maçon. En se baissant, c’est par un changement de position que le profane passe d’une attitude rigide et droite Ă  une autre position dans son mental. Il s’ouvre en laissant place en lui Ă  sa renaissance. La porte basse est Ă  vivre comme une difficultĂ© de l’accĂšs Ă  un autre soi-mĂȘme, comme nĂ©cessitĂ© d’une modification du rĂ©cipiendaire pour parvenir Ă  l’initiation. La porte est basse pour ĂȘtre le lieu de passage d’une arrivĂ©e de plus d’ĂȘtre qui, de ce fait, va participer de l’autre cĂŽtĂ© Ă  la transformation du porte basse marque l’espĂ©rance de cette possibilitĂ© d’accĂšs Ă  une rĂ©alitĂ© supĂ©rieure. Les rites maçonniques placent au commencement de l’initiation une recommandation, celle de l’humilitĂ© qui de ce fait apparaĂźt comme fondamentale et fondatrice du rapport entre F\ et S\. La fraternitĂ© c’est avant tout de l’humilitĂ© en ce sens qu’elle fait place Ă  l’autre dans un relatif renoncement de la dilatation naturelle de l’ego au profit de la rĂ©alitĂ© de l’autre HumilitĂ©, synergie de TolĂ©rance. Par l’humilitĂ©, c’est Ă  dire en se retirant de soi pour s’ouvrir aux autres, la tolĂ©rance se dynamise. Ce n’est plus seulement tu penses ce que tu veux mais moi aussi et je ne change pas d’avis; c’est avec l’humilitĂ© se replacer, par un pluralisme interprĂ©tatif, dans un rapport au monde dans ce mouvement de transcendance vers l’autre qui ne signifie pas appropriation de la vĂ©ritĂ©, mais convergence vers le possible. L’écoute de la parole de l’autre permet une mise en mouvement orientĂ©e. Il y a articulation et clarification de l’expĂ©rience temporelle. Baissez-vous la porte est basse, mais en vĂ©ritĂ© la porte n’est pas basse. Que peut-on en penser? Pour les maç\ sur les colonnes il leur est donnĂ© Ă  voir l’inexactitude de la parole du gd\exp\ qui guide le myste. De fait, cela se passe dans le contexte d’un rite, lĂ  oĂč ce qui est dit, comme dans un rĂ©cit mythique, devient vĂ©ritĂ© apodictique ce qui est dit fonde la vĂ©ritĂ© absolue. Il s’agit Ă©videmment de rĂ©alitĂ©s sacrĂ©es car Ă  ce moment c’est le sacrĂ© qui est rĂ©alitĂ©. Alors la porte est vraiment basse. Le temps sacrĂ© rend l’espace sacrĂ© et cette porte basse est celle du temple Ă©rigĂ© dans la matiĂšre cosmique sanctifiĂ©e. Le modĂšle architectural de l’ouverture pour entrer dans le temple est donc une porte basse qui veut ainsi crĂ©er une rupture de niveau d’ĂȘtre pour parvenir dans ce nouveau monde que le maçon a choisi d’habiter. L’humilitĂ© maçonnique est cette capacitĂ© Ă  se plier pour pĂ©nĂ©trer dans le temple parmi les autres. C’est savoir tailler sa pierre avec la juste mesure pour qu’elle s’assemble, pour parvenir Ă  ĂȘtre parmi les hommes. Mais c’est aussi entrer dans le temple intĂ©rieur pour s’accepter dans une recherche de soi Ă  travers des niveaux de comprĂ©hension de plus en plus maçonnique est un acte dans le rapport Ă  l’ en humilitĂ© est en soi un acte complet, il sera celui du F\M\ et tout particuliĂšrement celui de l’apprenti. Cet acte porte en lui mĂȘme sa libertĂ© parce qu’il s’agit d’Ɠuvrer pour que le moi laisse place Ă  la relation. C’est l’abandon du vieil homme au profit d’une conscience attentive, c’est le renoncement de la rĂ©pĂ©tition des enregistrements expĂ©rimentaux pour un temps sans cesse inaugural qui ajoute du nouveau Ă  l’ĂȘtre, qui le fait avancer vers un ĂȘtre-autrement, un ĂȘtre avec les autres. L’humilitĂ© est cette conscience d’ĂȘtre perfectible et la capacitĂ© de douter qui laisse de la place en soi Ă  autre chose qu’à ses certitudes. L’humble n’est pas un Ă©clopĂ© de la rĂ©ussite, car cela suppose d’aller jusqu’au bout de ses forces pour reconnaĂźtre autrui, non comme nĂ©gation victimaire de soi mais comme condition hĂ©roĂŻque oĂč l’homme fait place Ă  l’homme. L’humilitĂ© est une mise en mouvement du JE » qui fait place au NOUS » pour l’instauration d’un juste rapport entre partenaires. L’humilitĂ© en tant que tolĂ©rance de soi avec les autres est l’indispensable maniĂšre d’ĂȘtre du maçon sur laquelle se solidifie l’édification du la fin des travaux, lorsque le “JE” est devenu le “NOUS” rituel sur lequel s’appuie le serment du retour Ă  la vie profane "promettons de garder le silence sur nos travaux ; Nous le promettons", la porte des commencements est devenue SudarskisSource Thomasleur dit: si je vous disais une des paroles qu’il m’a dites, vous prendriez des pierres et vous les jetteriez contre moi; et le feu sortirait des pierres et vous brĂ»leraient.. NĂ©pomucĂšne Landarosa dit : 12 aoĂ»t 2013 Ă  9 h 12 min. C’est amusant ces synchronicitĂ©s : car justement ce matin je recherchais certains passages de l’Evangile de Thomas pour les Le dimanche de la Parole de Dieu a Ă©tĂ© instituĂ© par le pape François en 2019 et sera cĂ©lĂ©brĂ© pour la troisiĂšme fois le dimanche 23 janvier 2022. Dans les paroisses, cette journĂ©e peut ĂȘtre l’occasion de proposer une remise de la Bible aux catĂ©chistes et accompagnateurs engagĂ©s dans l’annonce de la foi au cours de la cĂ©lĂ©bration dominicale. Retrouvez d’autres propositions dans le dossier Dimanche de la Parole de Dieu et catĂ©chĂšse. DĂ©roulĂ© de la cĂ©lĂ©bration Chant d’entrĂ©e Que vive mon Ăąme Ă  te louer SYLF244 Z118-23 Je t’exalte ĂŽ Roi mon Dieu Pour un mot d’accueil Le pape François a demandĂ© que le troisiĂšme dimanche du temps ordinaire soit le dimanche de la Parole de Dieu. Bien sĂ»r, chaque dimanche, chaque eucharistie comprend le temps de la Parole. Mais il souhaite que nous puissions reprendre conscience, personnellement et en communautĂ© du bonheur de pouvoir Ă©couter et nous nourrir de la Parole de Dieu. Elle est parole de Vie. Elle nous redit que Dieu nous propose d’entrer en Alliance avec lui, par son Fils JĂ©sus. Lire, Ă©couter, partager et prier l’Ecriture c’est nous ressourcer au cƓur mĂȘme du Salut/ vivre du Salut. Le pape Ă©crit Que le dimanche de la Parole de Dieu puisse faire grandir dans le peuple du Seigneur la religiositĂ© et l’assiduitĂ© avec les Saintes Ecritures, comme l’auteur sacrĂ© enseignait dĂ©jĂ  dans les temps anciens elle est tout prĂšs de toi, cette Parole, elle est dans ta bouche et dans ton cƓur, afin que tu la mettes en pratique’ ». Entrons donc dans cette cĂ©lĂ©bration dans l’action de grĂące d’avoir accĂšs Ă  la Parole de Dieu. Demandons Ă  l’Esprit Saint d’ouvrir nos oreilles et nos cƓurs pour entendre ce que le Seigneur veut nous dire ! Procession du lectionnaire AprĂšs la priĂšre d’ouverture, pour entrer dans la liturgie de la Parole, on peut prĂ©voir une procession. Le lectionnaire est portĂ© par un laĂŻc entourĂ© de deux cĂ©rofĂ©raires. Pendant ce temps on peut chanter Tu nous parles aujourd’hui X 54-03 Sa Parole est lumiĂšre Z564 X564 Gloire au Christ, Parole Ă©ternelle A7 Seigneur que ta parole A 51 Ta parole est la lumiĂšre U 11-19 Voix des prophĂštes U 7 Un temps musical instrumental Remise de la Bible aux catĂ©chistes La personne responsable de la catĂ©chĂšse appelle les catĂ©chistes et les accompagnateurs par leur prĂ©nom. Chacun rĂ©pond en se levant Me voici ». Puis, les catĂ©chistes viennent se prĂ©senter au bas des marches du chƓur. Le cĂ©lĂ©brant prononce quelques mots en invitant l’assemblĂ©e Ă  se joindre Ă  un moment de communion dans la priĂšre avec les catĂ©chistes. On peut proposer un court moment de silence. Puis le cĂ©lĂ©brant procĂšde Ă  la bĂ©nĂ©diction des catĂ©chistes cf Livre des bĂ©nĂ©dictions Regarde Seigneur, tes serviteurs et tes servantes qui se proposent pour assurer la catĂ©chĂšse, par ta bĂ©nĂ©diction +, confirme leur disposition pour qu’ils instruisent d’abord en mĂ©ditant ta parole et en respectant toute la doctrine de l’Eglise. Qu’ils puissent Ă  leur tour enseigner leurs frĂšres et te servir avec joie en mĂȘme temps que ceux-ci. Par JĂ©sus le Christ, notre Seigneur. AMEN » Pendant ce temps on peut chanter Que vive mon Ăąme Ă  te louer Sa Parole est lumiĂšre Comme un souffle fragile Ecoute la voix du Seigneur Heureux, bienheureux, qui Ă©coute la Parole de Dieu Credo Le Credo qui vient ensuite nous aide Ă  entrer dans la contemplation du mystĂšre de la double nature du Christ, parole incarnĂ©e ». Introduction possible Comme chaque dimanche, aprĂšs avoir Ă©coutĂ© la Parole de Dieu, nous allons dans quelques instants nous lever pour redire la foi de notre baptĂȘme. Tout comme le saint PĂšre nous invite dans le Motu proprio Aperuit Illis Ă  ne jamais s’accoutumer Ă  la Parole de Dieu », redisons avec joie et avec un cƓur nouveau, le symbole de NicĂ©e Constantinople. Ce dernier nous invite en ce dimanche de la Parole Ă  confesser que JĂ©sus est bien vrai Dieu et vrai homme ; Verbe de Dieu, parole vivante ! PrĂ©paration des dons procession des offrandes avec les catĂ©chistes Introduction possible Le Pape François insiste sur la place unique et complĂ©mentaire de chacune des deux tables auxquelles nous sommes invitĂ©s Ă  chaque eucharistie la table de la parole et la table de l’eucharistie / du pain. Il cite lĂ  le Concile Vatican II L’Eglise a toujours vĂ©nĂ©rĂ© les divines Ecritures comme elle le fait aussi pour le Corps mĂȘme du Seigneur, elle qui ne cesse pas, surtout dans la sainte liturgie, de prendre le pain de vie de la table de la Parole de Dieu et de celle du Corps du Christ, pour l’offrir aux fidĂšles ». Les catĂ©chistes signifient ce lien entre les deux tables en participant maintenant Ă  la procession des offrandes, Ă  laquelle nous nous associons tous dans la priĂšre. Pendant ce temps Musique ou Chant PrĂ©parons la table B 21-85 ; Tout vient de toi C 66 dit leur de baisser la lumiĂšre, d’augmenter la dose” Les conditions du Jilbab - Couvrir l'ensemble du corps exceptĂ© le visage et les mains- Ne pas ĂȘtre une parure zina en soit- Être Ă©pais et non transparent- Être bien large et pas moulant- Ne pas ĂȘtre parfumĂ©- Ne pas ressembler aux vĂȘtements des hommes- Ne pas ressembler aux vĂȘtements des non musulmanes- Ne pas ĂȘtre un vĂȘtement de convenance Le voile est une obligation Divine, conformĂ©ment Ă  la parole d'AllĂąh traductions rapprochĂ©es "Et dis aux croyantes de baisser leurs regards, de garder leur chastetĂ©, et de ne montrer de leurs atours que ce qui en paraĂźt et qu'elles rabattent leur voile sur leurs poitrines; et qu'elles ne montrent leurs atours qu'Ă  leurs maris, ou Ă  leurs pĂšres, ou aux pĂšres de leurs maris, ou Ă  leurs fils, ou aux fils de leurs maris, ou Ă  leurs frĂšres, ou aux fils de leurs frĂšres, ou aux fils de leurs soeurs, ou aux femmes musulmanes, ou aux esclaves qu'elles possĂšdent, ou aux domestiques mĂąles impuissants, ou aux garçons impubĂšres qui ignorent tout des parties cachĂ©es des femmes. Et qu'elles ne frappent pas avec leurs pieds de façon que l'on sache ce qu'elles cachent de leurs parures. Et repentez-vous tous devant AllĂąh, Ô croyants, afin que vous rĂ©coltiez le succĂšs." Sourate An-nour Verset 31"Ô ProphĂšte! Dis Ă  tes Ă©pouses, Ă  tes filles, et aux femmes des croyants, de ramener sur elles leurs grands voiles elles en seront plus vite reconnues et Ă©viteront d'ĂȘtre offensĂ©es. AllĂąh est Pardonneur et MisĂ©ricordieux."Sourate Al Ahzab Verset 59 Qu'il couvre l'ensemble du corps exceptĂ© le visage et les mainsIl y a plusieurs hadiths qui prouvent que la femme peut montrer son visage et ses bin 'Abdullah Ű±Ű¶ÙŠ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčنه rapporteJ'ai assistĂ© Ă  la priĂšre de la fĂȘte al 'aĂŻd avec le Messager d'AllĂąh Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù…, il fit la priĂšre avant le prĂŽne sans appel Ă  la priĂšre majeur adhan, ni mineur iqama. Ensuite, il Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… se leva, s'appuya sur Bilal, et ordonna aux gens la crainte d'AllĂąh, les exhorta Ă  son obĂ©issance, les sermonna et leur fit le rappel. Ensuite, il se rendit auprĂšs des femmes, les prĂŽna et leur fit le rappel. Il Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… leur dit "faĂźtes l'aumĂŽne car la plupart d'entre vous seront en Enfer."Une femme aux joues foncĂ©es se leva dans l'assemblĂ©e et elle dit "Pour quelle raison ? Ô Messager d'AllĂąh !" Il Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… dit "car vous vous plaignez beaucoup et mĂ©connaissez les bienfaits que vous recevez." Il dit "elles se mirent Ă  faire l'aumĂŽne de leurs bijoux et jetĂšrent leurs anneaux et leurs bagues dans le vĂȘtement de Bilal."»Ce hadith est une preuve claire que la femme peut montrer son visage et ses mains, et c'est pour cette raison que nous l'avons citĂ© car dans le cas contraire, le narrateur n'aurait pas pu dĂ©crire cette femme, en disant qu'elle avait les joues foncĂ©es.RapportĂ© par MoslimIbn 'Abbas Ű±Ű¶ÙŠ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčنه rapporte d'Al Fadl bin 'AbbasUne femme de Khath'am questionna le Messager d'AllĂąh Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… lors du pĂ©lerinage d'adieu le jour du sacrifice, al fadl bin 'Abbas Ă©tait derriĂšre le Messager d'AllĂąh, al Fadl Ă©tait un homme radieux...Le ProphĂšte s'arrĂȘta pour rĂ©pondre aux gens.»Al fadl bin 'Abbas se tourna vers elle, c'Ă©tait une belle femme. Selon une autre variante "une femme radieuse."Et selon une autre variante "Al Fadl se mit Ă  la regarder, elle lui plĂ»t [et elle le regardait aussi], le Messager d'AllĂąh Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… le prit par le menton et tourna son visage de l'autre cĂŽtĂ©."RapportĂ© par Bokhari & MoslimEt selon une autre variante "Je la regardais" Le ProphĂšte Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… m'a vu et a dĂ©tournĂ© mon visage du sien, ensuite je l'ai regardĂ© une deuxiĂšme fois et il Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… dĂ©tourna mon visage du sien; il Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… fit cela trois fois et moi je n'ai pas arrĂȘtĂ©. Les narrateurs de ce hadiths sont sur, mais si Al Hakam bin 'Otayba ne l'a pas entendu d'Ibn 'Abbas alors il est discontinue monqati'.Cette histoire est aussi rapportĂ©e par 'Ali bin Abi Talib Ű±Ű¶ÙŠ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčنه, qui ditQue le Messager d'AllĂąh fut questionnĂ© aprĂšs avoir lapidĂ© les stĂšles.»Il Ű±Ű¶ÙŠ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčنه ajouta Al 'Abbas luidit alors "Ô Messager d'AllĂąh ! Pourquoi as tu tournĂ© la tĂȘte du fils de ton oncle?" Il Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… rĂ©pondit "J'ai vu un jeune et une jeune, et j'ai voulu les protĂ©ger du diable." RapportĂ© par Al Tirmidhi, Ahmad et Al Diha' avec une chaĂźne de narrateur authentiqueCe hadith, comme celui qui le prĂ©cĂšde prouve que le visage de la femme n'est pas une nuditĂ© 'awra.Ibn Hazm Ű±Ű¶ÙŠ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčنه a ditSi le visage Ă©tait une nuditĂ© 'awra, pourquoi n'a t'il pas rĂ©agit alors qu'elle avait le visage dĂ©voilĂ© devant les gens et pourquoi ne lui a t'il pas ordonnĂ© de le couvrir, car si elle avait le visage couvert, Ibn 'Abbas n'aurait pas su si elle Ă©tait belle ou non.»Sahl bin Sa'd raa rapporteUne femme est venue chez le Messager d'AllĂąh Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… alors qu'il Ă©tait Ă  la mosquĂ©e, elle dit"Ô Messager d'AllĂąh ! Je suis venu m'offrir Ă  toi!" Le Messager d'AllĂąh Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… la regarda de haut en bas, puis baissa la tĂȘte. Lorsqu'elle vit qu'il ne la dĂ©sirait pas, elle s'est alors assise.» RapportĂ© par Bokhari & Moslim'AĂŻcha Ű±Ű¶ÙŠ Ű§Ù„Ù„Ù‡ ŰčÙ†Ù‡Ű§ rapportĂ©Les femmes croyantes voilĂ©es par leurs habits, assistaient Ă  la priĂšre du matin avec le ProphĂšte, puis elles rentraient chez elles sans que personne ne les reconnaissent, tellement qu'il faisait noir.»La preuve dans ce hadith c'est, sa parole sans que personne ne les reconnaissent, tellement il faisait noir.» Ce qu'on peut comprendre c'est que s'il ne faisait pas noir on les aurait reconnues et habituellement on reconnaĂźt quelqu'un par son visage.»Ensuite, je suis tombĂ© sur une autre variante qui Ă©claira les autressans que personne ne reconnaisse le visage de l'autre.»RapportĂ© par Abou Y'ala dans son Mosnad avec une chaĂźne de narrateur authentique selon 'AĂŻchaFatima bint Qays Ű±Ű¶ÙŠ Ű§Ù„Ù„Ù‡ ŰčÙ†Ù‡Ű§ rapporteQu'Abou 'Amr bin Hafs Ű±Ű¶ÙŠ Ű§Ù„Ù„Ù‡ ŰčÙ†Ù‡Ű§ la rĂ©pudia dĂ©finitivement.»Et selon une autre variantePour la troisiĂšme et derniĂšre fois» Lors de absence... Elle alla chez le Messager d'AllĂąh Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… et lui expliqua cela...Il Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… lui ordonna de passer la pĂ©riode al 'ida chez Oum Sharik, ensuite il Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… a dit "C'est une femme dont mes Compagnons ont peur, va plutĂŽt chez Ibn Oum Maktoum; car c'est un homme aveugle, tu pourras retirer ton voile chez lui.»Et selon une autre varianteVa chez Oum Sharik ! Oum Sharik est une femme Ansar trĂšs riche, trĂšs gĂ©nĂ©reuse et qui a beaucoup d' dis alors "Je vais le faire!" Il Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… a dit "Ne le fais pas, car elle a beaucoup d'invitĂ©s et j'ai peur que ton voile glisse ou que tes habits dĂ©couvrent tes jambes et que les gens voient de toi ce que tu n'aimeras pas qu'ils voient, mais va plutĂŽt chez le fils de ton oncle 'Abdullah bin Oum Maktoum l'aveugle...et si tu retires ton voile, il ne te verra suis donc allĂ©e chez lui, lorsque ma pĂ©riode 'ida fut terminĂ©e. J'ai entendu l'appel Ă  la priĂšre, je suis alors allĂ©e Ă  la mosquĂ©e et j'ai priĂ© avec le Messager d' avoir terminĂ© la priĂšre, il Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… s'est assis sur la chaire minbar. Il Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… dit alors "Je ne vous ai pas rassemblĂ© dans le but de vous faire des recommandations ni des avertissements, mais je vous ai rassemblĂ© car Tamim al Dari Ă©tait un chrĂ©tien et il est venu me prĂȘter allĂ©geance et s'est converti Ă  l'Islam. Il m'a racontĂ© une histoire sur l'AntĂ©christ; qui correspondait Ă  ce que je vous avais dit Ă  son sujet...» RapportĂ© par MoslimCe hadith prouve que le visage n'est pas une nuditĂ© 'awra apparente, car le ProphĂšte Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… a permit Ă  Bint Qays que les hommes la voient avec un khimar, c'est-Ă -dire, ce qui couvre la tĂȘte qui doit ĂȘtre couverte et pas le pour cette raison que le ProphĂšte Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… avait peur que son khimar glisse et dĂ©voile ce qui est interdit. Il lui ordonna alors ce qui Ă©tait meilleur pour elle, c'est-Ă -dire, d'aller chez Ibn Oum Maktoum l'aveugle car il ne la verrait pas si elle enlĂšverait son faut savoir que cette histoire a eu lieu vers la fin de la vie du ProphĂšte Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù…, car Fatima bint Qays Ű±Ű¶ÙŠ Ű§Ù„Ù„Ù‡ ŰčÙ†Ù‡Ű§ Ă  la fin de 'ida, a entendu le ProphĂšte Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… racontait l'histoire et la conversion de Tamim Al il est rapportĂ© dans la biographie de Tamim qu'il s'est converti Ă  la neuviĂšme annĂ©e de l' prouve que cette histoire a eu lieu aprĂšs la rĂ©vĂ©lation des versets du jilbab, donc ce hadith est une preuve que le visage n'est pas une nuditĂ© 'awra.Ibn 'Abbas Ű±Ű¶ÙŠ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčنه rapporteQu'il fut questionnĂ© "As-tu assistĂ© Ă  une fĂȘte al 'aĂŻd avec le ProphĂšte Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… ?" "Oui" RĂ©pondit-il, mais grĂące Ă  mon jeune Ăąge.» Je l'ai vu au moment oĂč il arriva au signal qui Ă©tait auprĂšs de la maison de Kouthayyir bin al Salt, arrivĂ©-lĂ , il pria.»Il dit "Le ProphĂšte Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… est arrivĂ© et je le vis prendre place parmi les hommes. Ensuite, il se rendit chez les femmes en compagnie de Billal."Il Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… rĂ©cita aux femmes le verset suivant traduction rapprochĂ©e "Ô ProphĂšte! Quand les croyantes viennent te prĂȘter serment d'allĂ©geance, [et en jurent] qu'elles n'associeront rien Ă  AllĂąh, qu'elles ne voleront pas, qu'elles ne se livreront pas Ă  l'adultĂšre, qu'elles ne tueront pas leurs propres enfants, qu'elles ne commettront aucune infamie ni avec leurs mains ni avec leurs pieds et qu'elles ne dĂ©sobĂ©iront pas en ce qui est convenable, alors reçois leur serment d'allĂ©geance, et implore d'AllĂąh le pardon pour elles. AllĂąh est certes, Pardonneur et TrĂšs MisĂ©ricordieux." Sourate Al Moumtahanah Verset 12Il Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… rĂ©cita ce verset jusqu'au bout, et dit ensuite "Acceptez-vous cela?" Une des femmes prĂ©sente rĂ©pondit - et c'Ă©tait la seule qui rĂ©pondit - "Oui, Ô ProphĂšte d'AllĂąh !" Ensuite il Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… leur adressa des admonestations et des exhortations et leur ordonna de faire l' dit "Bilal Ă©tendit son vĂȘtement; et je vis alors les femmes puiser avec leur mains les aumĂŽnes et les lancer dans le vĂȘtement de Bilal."Et selon une autre variante "Elles se mirent Ă  lancer leur anneaux et leur bagues dans le vĂȘtement de Bilal, ensuite Bilal accompagna le ProphĂšte chez lui."RapportĂ© par BokhariCette histoire eut lieu, lorsque les femmes prĂȘtaient allĂ©geance au ProphĂšte Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… , et c'est une preuve qu'elle eu lieu aprĂšs l'ordre du jilbab. Et cet ordre eu lieu Ă  la troisiĂšme annĂ©e de l'hĂ©gire alors que le verset du prĂȘtement d'allĂ©geance avait Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ© Ă  la sixiĂšme annĂ©e de l' bint Al Harith Ű±Ű¶ÙŠ Ű§Ù„Ù„Ù‡ ŰčÙ†Ù‡Ű§ rapporteQu'elle Ă©tait mariĂ© Ă  Sa'd bin Khawla. Il dĂ©cĂ©da lors du pĂšlerinage d'adieu, il participa Ă  la bataille de Badr. Elle accoucha avant la fin de la pĂ©riode de quatre mois et dix jours du deuil de sa al Sanabil bin Ba'kak la rencontra Ă  la fin de ses lochies, elle s'Ă©tait mise du collyre dans les yeux et s'Ă©tait fait belle. Il lui dit alors "Soit bonne envers toi mĂȘme!" - ou une parole semblable. "Peut-ĂȘtre cherche-tu Ă  te marier? Mais cela ne t'ai permis qu'aprĂšs une pĂ©riode de quatre mois et dix jours aprĂšs la mort de ton mari. Elle dit alors "Je suis allĂ©e voir le ProphĂšte Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… et je lui ai racontĂ© ce que m'avait dit Abou al Sanabil bin Ba'kak." Il Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… me dit "Son deuil a pris fin lorsqu'elle a accouchĂ©."» RapportĂ© par Ahmad par deux voies, selon 'AĂŻcha la premiĂšre est authentique sahih et la deuxiĂšme est bonne hassan. Il se trouve aussi dans les deux Authentiques, c'est-Ă -dire Sahih Bokhari et Sahih MoslimIbn 'Abbas Ű±Ű¶ÙŠ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčنه rapporteUne femme priait derriĂšre le Messager d'AllĂąh Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… , c'Ă©tait une trĂšs belle femme, Ibn 'Abbas a dit "Par AllĂąh ! Je n'ai jamais vu une femme semblable."Certains hommes se m'Ă©taient au premier rang pour ne pas la voir tandis que d'autres tardaient Ă  venir pour ĂȘtre dans les derniers rangs, et lorsqu'ils s'inclinaient, ils regardaient en dessous de leurs bras et ils Ă©cartaient leurs bras.»RapportĂ© par Ashab al Sounnan et al Hakim et il a Ă©tĂ© authentifiĂ© et approuvĂ© par al DhahabiC'est alors qu'AllĂąh rĂ©vĂ©la traduction rapprochĂ©e Et Nous connaissons certes ceux qui parmi vous ont avancĂ© et Nous connaissons ceux qui tardent encore ». Sourate Al Hijr Verset 24Tous ces hadiths prouvent clairement qu'il est permit Ă  la femme de montrer son visage et ses mains et appuient le hadith de 'AĂŻcha citĂ© prĂ©cĂ©demment et explique le sens du versetComme il a Ă©tĂ© citĂ© prĂ©cĂ©demment jusqu'Ă  ce qu'Il dise et qu'elles rabattent leur voile sur leurs poitrines »Et ceci prouve, tout comme les ahadiths citĂ©s prĂ©cĂ©demment qu'il n'est pas obligatoire pour la femme de couvrir son visage car le voile est ce qui couvre la tĂȘte. Qu'il ne soit pas une parure en soitConformĂ©ment Ă  la parole d'AllĂąh citĂ©e prĂ©cĂ©demment se trouvant dans la sourate An-nour verset 31 et de ne montrer de leurs atours »Ce verset dans son gĂ©nĂ©ral, dĂ©signe aussi les vĂȘtements apparents s'ils sont une parure qui attirent les regards des hommes, et ce qui confirme cela c'est la parole d'AllĂąh Restez dans vos foyers; et ne vous exhibez pas Ă  la maniĂšre des femmes avant l'Islam Jahiliyah.Sourate Al Ahzab Verset 33Et la parole du Messager d'AllĂąh Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… Trois catĂ©gories de gens ne te poses pas de questions Ă  leur sujets, car ils font parti des perdants1- Un homme qui s'est sĂ©parĂ© du groupe al jama'a et a dĂ©sobĂ©i Ă  son imĂąm puis est mort Une servante ou un servant qui a fuit son maĂźtre et est morte Et une femme dont le mari s'est absentĂ©, lui laissant des provisions, et elle s'est exhibĂ©e al-tabaroj aprĂšs son te poses pas de questions Ă  leur sujets.» RapportĂ© par Al Hakim et Ahmad et sa chaĂźne de narrateur est authentique, al Hakim a dit il est conforme Ă  la norme de Bokhari et Moslim et je ne lui connais pas de dĂ©fectuositĂ©, il a Ă©tĂ© approuvĂ© par Al Dhahabi.Et s'exhiber al tabaroj, c'est le fait que la femme montre ses parures, ses beautĂ©s et ce qu'elle doit cacher, car cela Ă©veille les envies de l' but dans l'ordre du jilbab est de couvrir les parures de la femme, sachant cela, il est incomprĂ©hensible que le jilbab soit une parure en comme tu peux le voir, est une chose claire qu'on ne peut cacher. C'est pour cela que l'imĂąm Al Dhahabi a dit dans son livre Les Grands PĂ©chĂ©s» Parmi les actes qui font que la femme soit maudite c'est qu'elle fasse paraĂźtre sa parure comme son or, ses perles, son parfum lorsqu'elle sort de chez elle. Ainsi que, lorsqu'elle porte des vĂȘtements en tissu de soies, des robes courtes et des manches larges et cela fait parti du tabaroj qu'AllĂąh dĂ©teste, ici-bas comme dans l'au-delĂ . Ces actes que font les femmes justifient les paroles du ProphĂšte Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… lorsqu'il dit dans un hadithJe regardais l'Enfer et je trouvais que la plupart de ses habitants Ă©taient des femmes.» Ce hadith est authentique il a Ă©tĂ© rapportĂ© par Bokhari et Moslim et d'autres, d'un hadith selon 'Imran bin Housseyn et autresL'Islam a mis en garde contre le fait de s'exhiber tabaroj au point qu'il a Ă©tĂ© comparĂ© au polythĂ©isme shirk, l'adultĂšre, le vol et autres parmi les actes interdits. Et ce, lorsque le ProphĂšte Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… , demanda aux femmes de lui prĂȘter allĂ©geance; c'est Ă  cette occasion qu'il leur ordonna de ne pas faire cela.'Abdoullah bin 'Amr Ű±Ű¶ÙŠ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčنه a ditOmayma bint Raqayqa est venu chez le Messager d'AllĂąh Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… pour lui prĂȘter allĂ©geance, il Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… dit alors "Tu dois prĂȘter allĂ©geance de ne pas donner des Ă©gaux Ă  AllĂąh, de ne pas voler, de ne pas commettre l'adultĂšre, de ne pas tuer ton enfant, de ne pas commettre un acte de turpitude avec ce que tu as entre tes mains et tes jambes, de ne pas te lamenter et de ne pas t'exhiber Ă  la maniĂšre des femmes d'avant l'Islam al jahiliya.»RapportĂ© par Ahmad avec une bonne chaĂźne de narrateurEt sache qu'il est permit Ă  la femme de porter un vĂȘtement d'une autre couleur que le blanc ou le noir, et cela n'est pas considĂ©rĂ© comme une parure zina interdite, comme pourraient le penser certaines femmes. Ceci pour deux raisons♩ La premiĂšreLa parole du Messager d'AllĂąh Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… qui ditLe parfum de la femme est celui dont la couleur est apparente, et l'odeur ne l'est pas.» RapportĂ© par Abou Dawod, Nassai et c'est un hadith authentique♩ La deuxiĂšmeCar les femmes des Compagnons du ProphĂšte Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… pratiquaient vais citer quelques athar authentique Ă  ce sujet que al Hafiz bin Abou Shayba a rapportĂ© dans Al Moussannaf» 1‱ Ibrahim, qui est al Nakh'i, rapporte Qu'il entrait en compagnie de 'Alqama et al Aswad chez les femmes du ProphĂšteŰ”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… et ils les voyaient vĂȘtues de rouge.»2‱ Ibn Abou Malika a dit J'ai vu Oum Salama Ű±Ű¶ÙŠ Ű§Ù„Ù„Ù‡ ŰčÙ†Ù‡Ű§ porter un vĂȘtement teint au carthame.»3‱ Al Qassim, qui est Ibn Mouhammad bin Abou Bakr al Siddiq rapporte Que 'AĂŻcha Ű±Ű¶ÙŠ Ű§Ù„Ù„Ù‡ ŰčÙ†Ù‡Ű§ portait des vĂȘtements teint au carthame pendant qu'elle Ă©tait en Ă©tat de sacralisation mouhrima.» Et selon une autre variante, rapportĂ©e elle aussi par Al Qassim'AĂŻcha portait des vĂȘtements teint au carthame pendant qu'elle Ă©tait en Ă©tat de sacralisation.»4‱ Hisham rapporte, selon Fatima bint Al MoundhirQue Asma portait des vĂȘtements teint au carthame pendant qu'elle Ă©tait en Ă©tat de sacralisation.»5‱ Sa'ĂŻd bin Joubayr rapporteAvoir vu certaines femmes du ProphĂšte Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… faire le tawaf autour de la Maison sacrĂ©e al Ka'ba et elles portaient des vĂȘtements teint au carthame.» Qu'il soit Ă©pais et pas transparentCar on ne peut considĂ©rer que la femme soit voilĂ©e que si cette condition est appliquĂ©e, car s'il est transparent, il rend la femme attirante et cela est considĂ©rĂ© comme une parure interdite causant ainsi la Messager d'AllĂąh Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… a dit Ă  ce sujetIl y aura vers la fin des temps des femmes de ma communautĂ© qui seront habillĂ©es, mais qui en vĂ©ritĂ© sont dĂ©shabillĂ©es. Elles portent sur leur tĂȘte des bosses comme les bosses inclinĂ©es des chameaux; maudissez-les car elles sont maudies.» RapportĂ© par Al Tabarani dans "Al Mou'jama al Saghir" avec une chaĂźne de narrateur authentiqueIl a rajoutĂ© dans un autre hadithElles n'entreront pas au Paradis et ne sentiront mĂȘme pas son odeur, or son odeur se sent Ă  une distance tel et tel.»RapportĂ© par MoslimIbn 'AbdoulBar a ditLe Messager d'AllĂąh Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… a voulu dire les femmes qui portent des vĂȘtements lĂ©gers, qui dessinent le corps au lieu de le voiler, elles sont certes habillĂ©es linguistiquement parlant, mais elles sont dĂ©shabillĂ©es en rĂ©alitĂ©.»Oum 'Alqama bin Abou 'Alqama a ditJ'ai vu Hafsa bint 'AbdoulRahman bin Abou Bakr entrĂ©e chez 'AĂŻcha, elle Hafsa portait un voile fin et transparent. 'AĂŻcha l'a alors dĂ©chirĂ© et lui a dit "Ne sais-tu pas ce qu'AllĂąh a rĂ©vĂ©lĂ© dans la sourate La LumiĂšre?!" Elle demanda ensuite qu'on lui amĂšne un autre voile.» RapportĂ© par Ibn Sa'd et il est valable comme argumentationEt nous pouvons comprendre de la parole de 'AĂŻcha Ű±Ű¶ÙŠ Ű§Ù„Ù„Ù‡ ŰčÙ†Ù‡Ű§ Ne sais-tu pas ce qu'AllĂąh a rĂ©vĂ©lĂ© dans la sourate La LumiĂšre?!» Que celle qui porte un voile transparent n'est pas considĂ©rĂ© comme Ă©tant voilĂ©e et qu'elle n'aura pas mise en pratique l'ordre de la parole d'AllĂąh dans la sourate La LumiĂšre verset 31et qu'elles rabattent leur voile sur leurs poitrines» Et ceci est bin 'Ourwa rapporteAl Moundhir bin Zoubayr est revenu d'Iraq, il envoya Ă  Asma bint Abou Bakr sa mĂšre un vĂȘtement de Marw qui Ă©tait fin. Et ce, aprĂšs qu'elle soit devenue dit "Elle toucha le vĂȘtement de ses mains et dit ensuite" "Ouffin, rendez lui ce vĂȘtement!" Il dit Ce fut difficile pour lui et il dit "Ô mĂšre! Il n'est pas transparent."Elle dit alors "Il n'est peut-ĂȘtre pas transparent mais il dessine le corps."» RapportĂ© par Ibn Sa'd avec une chaĂźne de narrateur authentique jusqu'Ă  Al Moundhir'Abdoullah bin Abou Salma rapporteQue 'Omar bin al Khattab a vĂȘtu les gens d'al qubatiy c'est un vĂȘtement fin et de couleur blanche. Il dit ensuite "Ne laissez pas vos femmes porter ce vĂȘtement." C'est alors qu'un homme dit "Ô commandeur des croyants! Je l'ai fait porter Ă  ma femme puis, je me suis mis devant et derriĂšre elle, Ă  la maison, et j'ai vu qu'il n'Ă©tait pas transparent." 'Omar dit "Il n'est pas transparent, mais il dessine le corps."» RapportĂ© par Al Bayhaqi qui l'a jugĂ© dĂ©tachĂ© moursal. Mais cet homme narrateur est sĂ»rDe ce athar et celui qui lui prĂ©cĂ©dait nous pouvons conclure qu'Ă  leur Ă©poque, il n'Ă©tait pas permit de porter un vĂȘtement transparent ou dessinant le corps et que celui qui Ă©tait transparent Ă©tait pire que celui qui dessinait le pour cela que 'AĂŻcha Ű±Ű¶ÙŠ Ű§Ù„Ù„Ù‡ ŰčÙ†Ù‡Ű§ a ditLe voile c'est ce qui couvre le corps et les cheveux.» Al Bayhaqi l'a citĂ© comme suspendu mou'allaqEt c'est pour cela que les Savants ont ditIl faut couvrir la nuditĂ© de sorte que le voile ne dessine pas le corps et ce, en portant un vĂȘtement Ă©pais car il n'es pas permit de se voiler d'un vĂȘtement [fin] qui celui-ci en revanche dessine le corps et de ce fait, elle ne sera pas considĂ©rĂ© comme Ă©tant voilĂ©e. Qu'il soit bien large et pas moulantCar le but de ce vĂȘtement est justement de ne pas crĂ©er de discorde, et cela n'est possible que s'il est bien large. Car s'il est moulant, il voilera peut ĂȘtre [la couleur de la personne] mais dessinera son corps ou certaines parties de son corps; que les hommes s' en cela, il y a un grand mal que l'on ne peut ignorer, il est donc obligatoire que le vĂȘtement soit bien bin Zayd a ditLe Messager d'AllĂąh Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… m'a vĂȘtu d'une qutbiya Ă©paisse que lui avait offert Dahya al Kalbi. Je l'avais fait porter Ă  ma Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… m'a dit "Pourquoi ne portes-tu pas ta qutbiyya?" Je lui dis "Je l'ai fait porter Ă  ma femme."Il Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… m'a dit "Ordonne-lui de mettre un autre vĂȘtement en dessous, car j'ai peur que cela dessine son corps."» RapportĂ© par Daha Al Maqdissi dans AlHadith Al Moukhtara», Ahmad et Al Bayhaqi avec une bonne chaĂźne de narrateurLe Messager d'AllĂąh Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… a ordonnĂ© Ă  la femme de porter un vĂȘtement sous sa qutbiyya pour que celle-ci ne dessine pas son corps. Cet ordre prouve que c'est une obligation comme cela est connu dans al pour cela que Al Shawkani a dit en expliquant ce hadithCe hadith prouve que la femme doit voiler son corps d'un vĂȘtement qui ne la dessine pas, et ceci est une condition pour celles qui dĂ©sirent couvrir leur nuditĂ© 'awra et il Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… a ordonnĂ© de mettre un autre vĂȘtement sous le qibati car c'est un vĂȘtement [fin] qui ne voile pas le corps des regards, mais certes il le dessine.» Qu'il ne soit pas parfumĂ©Il y a plusieurs hadith interdisant aux femmes de se parfumer lorsqu'elles sortent de chez allons citer ici quelques hadith authentiques Ă  ce sujet1‱ Abou Moussa al Ash'ari rapporte que le Messager d'AllĂąh Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… a ditToute femme qui se parfume puis sort de chez elle en passant prĂšs d'un groupe de gens pour qu'ils sentent son parfum, est une fornicatrice.»RapportĂ© par Nassai. Abou Dawod. Tirmidhi qui a dit "bon-valide-sĂ»r" hassan sahih. Al Hakim a dit "sa chaĂźne de narrateur est bonne et Al Dhahabi l'a approuvĂ©"2‱ Zaynab Al Thaqafiyya rapporte que le ProphĂšte Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… a ditSi l'une de vous vient Ă  la mosquĂ©e, qu'elle n'approche pas le parfum.» RapportĂ© par Moslim3‱ Moussa bin Yassar rapporte d'Abou HourayraQu'une femme est passĂ©e prĂšs de lui, elle s'Ă©tait lui dit "Ô Oum al Jabbar! Vas-tu Ă  la mosquĂ©e?" Elle rĂ©pondit "Oui" - Il dit "Est-ce pour cela que tu t'es parfumĂ©e?"Elle rĂ©pondit "Oui" - "Retourne chez toi et lave-toi!" J'ai entendu le Messager d'AllĂąh Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… dire "Lorsqu'une femme sort pour se rendre Ă  la mosquĂ©e et qu'elle dĂ©gage une odeur de parfum, AllĂąh n'acceptera sa priĂšre que si elle rentre chez elle et se lave."»RapportĂ© par Al Bayhaqi et d'autres. De plus c'est un hadith authentiqueLa raison de son interdiction est claire, car il Ă©veille les cela est interdit pour celles qui dĂ©sirent se rendent Ă  la mosquĂ©e, quel en sera le jugement juridique pour celles qui font cela et vont au marchĂ©, dans les ruelles et les grands boulevards ? Il n'y a aucun doute que cela s'avĂšre d'autant plus interdit et un plus grand Haythami a dit dans Al Zawajir»Que le fait qu'une femme sorte de chez elle parfumĂ©e et parĂ©e, fait partie des grands pĂ©chĂ©s, mĂȘme si son mari lui permettait cela!» Qu'il ne ressemble pas aux vĂȘtements des hommesCar il a Ă©tĂ© rapportĂ© plusieurs hadiths authentiques oĂč l'on maudit la femme qui essaie de ressembler Ă  l'homme dans sa tenue vestimentaire ou voici ce que nous connaissons Ă  ce sujet1‱ Abou Hourayra a ditLe Messager d'AllĂąh Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… a maudit l'homme qui porte des vĂȘtements de femme et la femme qui porte des vĂȘtements d'homme.»RapportĂ© par Abou Dawod. Ibn Majah et Al Hakim qui disent "il est authentique conformĂ©ment Ă  la norme de Moslim."Il a Ă©tĂ© approuvĂ© par Al Dhahabi et il est comme ils l'ont tout deux dit2‱ 'Abdoullah bin 'Amr a ditJ'ai entendu le Messager d'AllĂąh Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… dire "Ils ne sont pas des nĂŽtres Celles qui parmi les femmes essayent de ressembler aux hommes et ceux parmi les hommes qui essayent de ressembler aux femmes."» RapportĂ© par Ahmad, Abou Nou'aym et sa chaĂźne de narrateur est valide3‱ Ibn 'Abbas a ditLe ProphĂšte Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… a maudit les hommes effĂ©minĂ©s et les femmes qui se comportent comme des hommes. Il a dit "Faites-les sortir de vos maisons." Il a dit "Le ProphĂšte Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… fit sortir untel et 'Omar fit sortir untel."» RapportĂ© par Al BokhariEt selon une autre varianteLe Messager d'AllĂąh Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… a maudit les hommes qui essayent de ressembler aux femmes et les femmes qui essayent de ressembler aux hommes.» RapportĂ© par Moslim4‱ 'Abdoullah bin 'Omar a ditLe Messager d'AllĂąh Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… a dit"Il y a trois catĂ©gories de gens qui n'entreront pas au Paradis et qu'AllĂąh ne regardera mĂȘme pas le Jour de la RĂ©surrection -Celui qui a un mauvais comportement envers ses femme qui se comporte comme un homme et qui essaie de leur qui n'a aucune jalousie."» RapportĂ© par Nassai et Al Hakim qui disent "Sa chaĂźne de narrateur est authentique." Et il a Ă©tĂ© approuvĂ© par Al Dhahabi5‱ Ibn Abou Malika [et son nom est 'Abdoullah bin 'Oubaydillah] a dit'AĂŻcha fut questionnĂ© "Est-ce que la femme peut porter des sandales ou des souliers?"Elle dit alors "Le Messager d'AllĂąh Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… a maudit la femme qui essaie de ressembler aux hommes."»RapportĂ© par Abou Dawod et ses narrateurs sont sĂ»rsCes hadiths sont une preuve Ă©vidente de l'interdiction pour la femme d'essayer de ressembler aux hommes et aux hommes de ressembler aux femmes. Que ce soit dans la tenue vestimentaire ou le premier hadith suscitĂ© qui parle seulement de la tenue Dhahabi dans son livre Les Grands PĂ©chĂ©s» a consacrĂ© un chapitre au sujet des femmes qui essayent de ressembler aux hommes et aux hommes qui essayent de ressembler aux a citĂ© certains des hadiths citĂ©s prĂ©cĂ©demment et dit ensuiteLa femme qui porte des vĂȘtements d'hommes, c'est-Ă -dire fendus, ou aux manches Ă©troites, imite les habits des hommes et subit la malĂ©diction d'AllĂąh et de son Messager Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… . Il incombe dans ce cas Ă  son mari de lui interdire de porter de pareils habits, ceci conformĂ©ment Ă  la parole d'AllĂąh qui dit traduction rapprochĂ©e Ô vous qui avez cru! PrĂ©servez vos personnes et vos familles, d'un Feu dont le combustible sera les gens et les pierres, surveillĂ© par des Anges rudes, durs, ne dĂ©sobĂ©issant jamais Ă  AllĂąh en ce qu'Il leur commande, et faisant strictement ce qu'on leur ordonne. Sourate At-Tahrim Verset 6Et Ă  la parole du ProphĂšte Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… qui dit Vous ĂȘtes tous des bergers et vous ĂȘtes tous responsables de votre troupeau, l'homme est un berger pour sa famille et il sera responsable d'eux le Jour de la RĂ©surrection.» Qu'il ne ressemble pas aux vĂȘtements des non musulmanesIl a Ă©tĂ© dĂ©crĂ©tĂ© dans la lĂ©gislation Islamique qu'il n'est pas permit aux musulmans, hommes ou femmes d'essayer de ressembler aux mĂ©crĂ©ants que ce soit-dans leurs adorations-leurs fĂȘtes-ou leur aspects extĂ©rieurs propre Ă  eux.Ceci est une rĂšgle trĂšs importante dans la lĂ©gislation Islamique, qui malheureusement de nos jours a Ă©tĂ© nĂ©gligĂ© par beaucoup de musulmans. Et mĂȘme certains qui s'occupent de la prĂȘche et ce, par ignorance, ou due au fait qu'ils suivent leurs passions, ou Ă  cause de leur affaissements aux coutumes et habitudes de leur Ă©poque ou en imitant l' tel point que cela fut la cause de l'humiliation et la faiblesse des musulmans, et leur colonisation.traduction rapprochĂ©e"En vĂ©ritĂ©, AllĂąh ne modifie point l'Ă©tat d'un peuple, tant que les [individus qui le composent] ne modifient pas ce que est en eux-mĂȘmes. Et lorsqu' AllĂąh veut [infliger] un mal Ă  un peuple, nul ne peut le repousser ils n'ont en dehors de lui aucun protecteur." Sourate Ar-ra'd Verset 11Si seulement ils savaient...Il faut savoir que les arguments de ces rĂšgles trĂšs importantes, sont trĂšs nombreux dans le Coran et la Sounna.'Abdoullah bin 'Omar a dit Le Messager d'AllĂąh Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… a ditJ'ai Ă©tĂ© envoyĂ© entre la fin des temps, pour qu'AllĂąh soit adorĂ© uniquement sans associĂ©s, et ma subsistance est sous l'ombre de ma lance. Et l'humiliation et le rabaissement se trouvent dans le fait de contredire mes ordres, ainsi celui qui essaie de ressembler Ă  un groupe de gens fait parti des leur.» RapportĂ© par Ahmad avec une bonne chaĂźne de narrateur'Abdoullah bin 'Amr bin Al 'As a ditLe Messager d'AllĂąh Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… me vit revĂȘtu de deux vĂȘtements teint au carthame et me dit "Ces vĂȘtements sont ceux des mĂ©crĂ©ants, ne les porte pas!"» RapportĂ© par MoslimIbn 'Omar rapporteLe Messager d'AllĂąh Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… a dit "Distinguez-vous des polythĂ©istes moushrikin, laissez-vous pousser la barbe et taillez-vous les moustaches.»RapportĂ© par Bokhari et MoslimAbou Hourayra rapporte que le Messager d'AllĂąh Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… a ditTaillez-vous les moustaches et portez la barbe et diffĂ©renciez-vous des mazdĂ©ens majous.» RapportĂ© par Mouslim Qu'il ne soit pas un vĂȘtement de convenanceLe vĂȘtement de mode de renom c'est tout habit que l'on porte dans le but d'ĂȘtre connu par les gens et ce, que ce soit un vĂȘtement de luxe ou un vĂȘtement laid qu'on porte dans le but de se faire passer pour quelqu'un de frugal ou par Shawkani a ditIbn al Athir a dit "La renommĂ©e al shouhra c'est le fait de montrer une chose. Le but c'est que le vĂȘtement ait une rĂ©putation chez les gens comme par ex. en ayant une couleur diffĂ©rente qui attire le regard des autres et ce, pour les surprendre et les Ă©tonner par orgueil.»ConformĂ©ment au hadith d'Ibn 'Omar qui ditLe Messager d'AllĂąh Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… a dit "Celui qui porte un vĂȘtement qui attire l'attention shouhra dans la vie d'ici-bas, AllĂąh le fera porter un vĂȘtement d'humiliation le Jour de la RĂ©surrection ensuite ce vĂȘtement s'enflammera.» RapportĂ© par Abou Dawod et Ibn Majah et sa chaĂźne de narrateur est authentiqueAl Shawkani a ditCe hadith prouve l'interdiction de porter un vĂȘtement de mode de renom, mais ce hadith n'est pas spĂ©cifique aux vĂȘtements de mode. Mais il est de mĂȘme pour celui qui porte des vĂȘtements de pauvres dans le but d'ĂȘtre vu par les gens et d'attirer leurs attentions.»Et si l'on porte un vĂȘtement dans le but d'ĂȘtre connu par les gens, alors il n'y a aucune diffĂ©rence entre celui qui porte un vĂȘtement de luxe ou un vĂȘtement mĂ©diocre, un vĂȘtement semblable ou diffĂ©rent Ă  celui des gens, car l'interdiction ici est qu'il soit portĂ© dans le but d'ĂȘtre connu par les gens. ✅ PubliĂ© par Mouhammad Nacer-dine Al-Albany - Ű§Ù„ŰŽÙŠŰź Ù…Ű­Ù…ŰŻ Ù†Ű§Ű”Ű± Ű§Ù„ŰŻÙŠÙ† Ű§Ù„ŰŁÙ„ŰšŰ§Ù†ÙŠ

Disleur de baisser la lumiĂšre Jump to. Sections of this page. Accessibility Help. Press alt + / to open this menu. Facebook. Email or phone: Password: Forgot account? Sign Up. See more of Purple Money on Facebook. Log In. or. Create new account. See more of Purple Money on Facebook. Log In. Forgot account? or. Create new account. Not now. Related Pages. E

ï»żStrophe 1 1. Je suis la lumiĂšre », À dit le Seigneur ; Avec moi, mon frĂšre, Ouvre-lui ton Le monde est plein d'ombre Brillons, brillons bien, Toi dans ton coin sombre, Et moi dans le 2 2. Si la pure flamme Parfois baisse un peu, Veillons sur notre Ăąme, Ravivons le Le monde est plein d'ombre Brillons, brillons bien, Toi dans ton coin sombre, Et moi dans le 3 3. Quand le jour se voile Au clair firmament, La plus humble Ă©toile Brille Le monde est plein d'ombre Brillons, brillons bien, Toi dans ton coin sombre, Et moi dans le de ThĂ©odore MonodATG397. Je suis la lumiĂšre

Cetenfant, c’est le Dieu crĂ©ateur de l’univers, qui nous a donnĂ© la vie et nous fait respirer. Au milieu des misĂšres, des tĂ©nĂšbres, des guerres, du mal et du pĂ©chĂ©, Dieu est venu. NoĂ«l nous dit que nous ne sommes pas abandonnĂ©s, livrĂ©s au hasard. Nous ne sommes pas perdus dans un univers qui n’a aucun sens. Exode 1314-15 14 Et lorsque ton fils te demandera un jour Que signifie cela? Tu lui rĂ©pondras Par sa main puissante, l`Éternel nous a fait sortir d`Égypte, de la maison de servitude; 15 et, comme Pharaon s`obstinait Ă  ne point nous laisser aller, l`Éternel fit mourir tous les premiers-nĂ©s dans le pays d`Égypte, depuis les premiers-nĂ©s des hommes jusqu`aux premiers-nĂ©s des animaux. VoilĂ  pourquoi j`offre en sacrifice Ă  l`Éternel tout premier-nĂ© des mĂąles, et je rachĂšte tout premier-nĂ© de mes fils. LA PAROLE PARLÉE EST LA SEMENCE ORIGINELLE PARTIE II - JEFF, IN, USA 20 Maintenant, si vous remarquez, il est parlĂ© dans la Bible d'une prostituĂ©e c'est une Ă©glise. Il y est aussi parlĂ© d'une autre prostituĂ©e c'est une Ă©glise. Et il est Ă©galement parlĂ© d'une Épouse, c'est l'Église. VoilĂ  les trois. Nous y viendrons dans un moment pour montrer de qui elles sont les Ă©pouses, comment elles ont Ă©tĂ© rejetĂ©es et tout Ă  ce sujet, si le Seigneur le veut. LE TROISIEME EXODE - Jeffersonville, Indiana, USA - Dimanche 30 juin 1963, matin 133. Que fait-Il au premier exode? Il les fit sortir d'un pays naturel vers un pays naturel. Au deuxiĂšme exode, Il les fit sortir d'une condition spirituelle vers un baptĂȘme spirituel du Saint-Esprit. Aujourd'hui, Il les amĂšne du baptĂȘme spirituel du Saint-Esprit, directement dans le pays Ă©ternel du MillĂ©nium et du glorieux Au-delĂ . C'est la mĂȘme Colonne de Feu par le mĂȘme systĂšme oint, le mĂȘme Dieu qui accomplit les mĂȘmes choses; et la mĂȘme Parole qui avait proclamĂ© le premier exode, a proclamĂ© le deuxiĂšme. La mĂȘme Parole qui a proclamĂ© le deuxiĂšme a proclamĂ© le troisiĂšme, et nous le voyons ici parmi nous. Sortez. Oh! sortez de ce chaos. Venez au Dieu vivant. Venez Ă  la Parole. Et la Parole a Ă©tĂ© faite chair et a habitĂ© parmi nous.» Et aujourd'hui, Il est dans notre chair et Il habite parmi nous. Sortez et servez le Dieu vivant, alors que nous inclinons la tĂȘte. [Une prophĂ©tie est donnĂ©e - Ed.] LES INSTRUCTIONS DE GABRIEL À DANIEL - JEFFERSONVILLE, IN, USA 130 Bon, donc, finalement, c'est un fait que Dieu traite avec IsraĂ«l seulement quand elle est dans sa patrie. Prenons, par exemple, quand Dieu... quand Abraham a quittĂ© sa patrie pour aller en Égypte, qu'est-ce qui est arrivĂ©? Il s'est Ă©loignĂ© de la volontĂ© de Dieu, et il n'a plus Ă©tĂ© bĂ©ni, tant qu'il n'est pas retournĂ© dans sa patrie. Dieu n'a plus traitĂ© avec lui, pas une seule vision, ni rien d'autre, tant qu'il n'est pas retournĂ© dans sa patrie. 131 Regardez IsraĂ«l, quand ils ont Ă©tĂ© envoyĂ©s en Égypte, pour quatre cents ans. Il n'est pas arrivĂ© un seul miracle, pas un seul signe, pas la moindre chose au milieu d'eux, il n'y a rien de mentionnĂ© dans l'histoire du Livre. Toujours le mĂȘme train-train aller Ă  l'Ă©glise, offrir l'agneau, dire un "Je vous salue, Marie", ou ce qu'il fallait dire, et retourner. L'annĂ©e suivante c'est pareil. Les prĂȘtres, ils Ă©taient tous lĂ  Ă  se disputer "Le rabbin Untel! On va Ă©lire le rabbin Untel. Il a fait plus d'Ă©tudes. Il connaĂźt mieux les Égyptiens." Et, bientĂŽt, les Égyptiens et—et eux, ils Ă©taient tous pareils. HÉBREUX CHAPITRE 7, DEUXIÈME PARTIE - 389 Ainsi, les NazarĂ©ens, vous ne devez pas porter de bague, vous ne pouvez pas porter de montre, et vous devez avoir telle et telle chose et vos bras doivent porter des manches de telle longueur, et vos jupes doivent avoir telle longueur, et les hommes ne peuvent appartenir Ă  une loge; et ils ne vous baptiseront pas si vous ne faites pas tout cela. TrĂšs bien, alors voici qu'entrent en scĂšne les Catholiques avec leurs obligations. Et voici qu'arrivent les MĂ©thodistes et ils ont les leurs. Chacune de ces Ă©glises a une norme Ă  laquelle il faut satisfaire. Si vous ĂȘtes en dehors de cette norme, trĂšs bien, c'en est fait. Voyez-vous? Et alors... L’ENLEVEMENT - Yuma, Arizona, USA - Samedi 4 DĂ©cembre 1965, soir 82. Le mot mĂȘme Ă©glise signifie appelĂ© hors de.». Et comme MoĂŻse appela une nation hors d’une nation, le Saint-Esprit appelle une Epouse hors d’une Ă©glise. Une Eglise hors d’une Ă©glise; ce sont des membres issus de toutes les dĂ©nominations qui constituent l’Epouse,... JÉHOVAH-JIRÉ II - LOUISVILLE, MS, USA 192 Tout comme Dieu a tirĂ© une nation hors d'une nation, en Égypte, Il fait sortir une Église d'une Ă©glise, ou une Épouse d'une Ă©glise; une Église hors d'une Ă©glise. Et le reste de la semence de la femme, c'est ce qui a Ă©tĂ© laissĂ©. Il y aura des pleurs, des gĂ©missements et des grincements de dents, parce qu'elles n'avaient pas d'huile dans leurs lampes.» L'huile reprĂ©sente toujours le Saint-Esprit. Les voilĂ . Jean Chapitre 832 32 vous connaĂźtrez la vĂ©ritĂ©, et la vĂ©ritĂ© vous affranchira. 33 Ils lui rĂ©pondirent Nous sommes la postĂ©ritĂ© d`Abraham, et nous ne fĂ»mes jamais esclaves de personne; comment dis-tu Vous deviendrez libres? 34 En vĂ©ritĂ©, en vĂ©ritĂ©, je vous le dis, leur rĂ©pliqua JĂ©sus, quiconque se livre au pĂ©chĂ© est esclave du pĂ©chĂ©. 35 Or, l`esclave ne demeure pas toujours dans la maison; le fils y demeure toujours. 36 Si donc le Fils vous affranchit, vous serez rĂ©ellement libres. LE SIGNE - JEFFERSONVILLE, IN, USA 200 La sortie l'Égypte, d'IsraĂ«l Ă©tait un type de l'antitype d'aujourd'hui. L'Égypte, c'Ă©tait l'Église; et IsraĂ«l reprĂ©sentait l'Épouse. Et, de mĂȘme qu'IsraĂ«l est sorti de l'Égypte, l'Épouse sort de l'Église. Voyez-vous? Il faut donc qu'il y ait lĂ  quelque chose dont Elle doive sortir; et Elle doit en sortir, puisque c'Ă©tait un type. L'Église est lĂ -bas en Égypte, dans le monde et dans le pĂ©chĂ©, et elle ne se soucie pas le moins du monde de votre Signe. Ils n'Y croient mĂȘme pas. Mais IsraĂ«l l'aimait, car c'Ă©tait leur salut. Oh! Oh! Cela devrait nous rendre heureux, notre cƓur devrait... LE SIGNE - DALLAS, TX, USA 8 Et, maintenant, c'est un type d'aujourd'hui qui est montrĂ©, puisque nous aussi, nous nous trouvons devant un autre exode. Dieu, qui a fait sortir IsraĂ«l de l'Égypte pour le faire entrer dans le pays promis, c'Ă©tait un type de Christ, qui fait sortir l'Épouse de l'Ă©glise pour La faire entrer dans le Pays promis. Nous sommes dans un autre exode. Maintenant, vous pourrez Ă©tudier les passages de l'Écriture, car nous avons juste le temps d'en voir les points principaux, c'est vrai. Nous sommes... Comme Dieu a fait sortir une nation d'une nation, Dieu fera sortir l'Épouse d'une Ă©glise. L'Épouse sera appelĂ©e Ă  sortir de toutes les Ă©glises. Ce sont les Ă©lus de Dieu qui sortiront. Et nous sommes au bord de cet exode en ce moment, 
 Il vient pour faire sortir une Épouse d'une Ă©glise. Galates Chapitre 41 Or, aussi longtemps que l`hĂ©ritier est enfant, je dis qu`il ne diffĂšre en rien d`un esclave, quoiqu`il soit le maĂźtre de tout; JE SERAI AVEC TOI COMME J’AI ÉTÉ AVEC MOÏSE - JEFFERSONVILLE, IN, USA 74 Mais pour vous qui croyez, oh Dieu, vous qui savez, vous qui avez quelque chose en vous, qui appelle la Profondeur... Si toute la profondeur que vous avez a Ă©tĂ© satisfaite, alors restez oĂč vous ĂȘtes. Mais pour moi et ma maison, pour moi, il y a quelque chose de plus que ce qu'il voit. Il y a un Pays au-delĂ  de fleuve, quelque part. Il y a toujours une profondeur qui appelle une Profondeur. Je ne peux pas ĂȘtre satisfait par la thĂ©ologie. Je ne peux ĂȘtre satisfait par une bonne Ă©glise. Je ne peux ĂȘtre satisfait par une bonne campagne. Je ne peux pas ĂȘtre satisfait par un petit service de guĂ©rison. Il y a quelque chose au-delĂ  de cela qui appelle. HONTEUX DE LUI - JEFF, IN, USA 151 De mĂȘme, l'Évangile et la Puissance du Dieu Tout-Puissant se sont rĂ©pandus tout autour du monde! Et le temps de la sĂ©paration est en train de s'Ă©tablir; Dieu appelle une Épouse et le diable appelle une Ă©glise. Que je fasse partie de l'Épouse! Prions. LE DIEU DE CET ÂGE MAUVAIS - - JEFFERSONVILLE, IN, USA 53
L’esprit impie du diable est ici, appelant son Ă©glise par l’erreur, comme d’habitude, par la perversion de la Parole de Dieu comme il l’avait fait au commencement. Voyez-vous cela revenir une fois de plus Ă  l’époque de la semence? C’est depuis l’Éden, et cela est ici une fois de plus. LE DIEU DE CET ÂGE MAUVAIS - - JEFFERSONVILLE, IN, USA 122 Comme la dĂ©nomination est contraire Ă  la Parole de Dieu! Il n’en a jamais eu une, Il n’a jamais agi dans une dĂ©nomination, et Il n’a jamais traitĂ© avec une dĂ©nomination. J’aimerais qu’un historien me montre lĂ  oĂč un prophĂšte soit jamais sorti d’une Ă©glise. Montrez-moi oĂč Dieu n’ait jamais bĂ©ni l’église qui Ă©tait – aprĂšs qu’elle s’est organisĂ©e. Elle a Ă©tĂ© mise au rebut et elle est morte avec sa sagesse intellectuelle du diable, transmise par leurs conducteurs, et elle a rejetĂ© la Parole de Dieu au fur et Ă  mesure que Celle-ci croissait jusqu’à la stature parfaite de Christ. Maintenant, on en est Ă  – Ă  la tĂȘte. Comme c’est opposĂ©. SĂ©parez-vous de cette Ève incrĂ©dule, vous enfants de la LumiĂšre du soir. L’ EDEN DE SATAN - JEFFERSONVILLE, IN, USA 22 Le dieu de ce monde d’aujourd’hui, la personne vĂ©nĂ©rĂ©e de ce monde d’aujourd’hui, c’est Satan. Et les gens adorent Satan sans le savoir, mais c’est Satan qui se fait passer pour l’église, voyez-vous, pour l’église. Ils adorent Satan, en pensant qu’ils adorent Dieu Ă  travers l’église, mais c’est la façon dont Satan s’y est pris. “Oh,” vous dites, “mais, un instant nous prĂȘchons la Parole.” RENDRE UN SERVICE À DIEU EN DEHORS DE SA VOLONTÉ - JEFF, IN, USA 77 Cela ressemble aux grandes croisades de notre temps. Ils voulaient gagner le monde Ă  Christ. Il n'existe pas de telle chose! De grands rĂ©veils qui balaient tout, de grandes choses qui arrivent, si seulement ils pouvaient rĂ©aliser que ce temps est passĂ©. Elle est condamnĂ©e! Ils font des croisades, des organisations et tout le reste, mais le rĂ©sultat ressemble un peu Ă  ce qui arriva du temps de David; cela ne marcha pas. QUESTIONS ET REPONSES [SUR L’IMAGE DE LA BETE] - Jeffersonville, Indiana, USA - Samedi 15 mai 1954, soir 82. Regardez, hier soir – quand le Saint-Esprit a prĂ©dit, neuf cents ans avant que les Juifs aient reçu le Saint-Esprit, il leur a dit ce qu’il en serait. L’écritoire
 L’homme portant l’écritoire passa au milieu de JĂ©rusalem et fit une marque sur leur front.» Est-ce vrai? Il parla de cela avant que l’église soit condamnĂ©e par Dieu. Et Titus assiĂ©gea les murs de JĂ©rusalem en 96 aprĂšs JĂ©sus-Christ et brĂ»la la ville. Et il ne resta pas pierre sur pierre conformĂ©ment Ă  la prophĂ©tie. LE TEMPS ET LE SIGNE DE L’UNION - JEFFERSONVILLE, IN, USA 56 Maintenant, les Juifs s'Ă©taient unis contre JĂ©sus, et – et contre Sa qualitĂ© de Messie, et Son Message Messianique. Nous voyons la mĂȘme chose se passer maintenant, exactement la mĂȘme chose! Le communisme est en train de s'unir pour dĂ©truire l'Ă©glise; et la seule façon pour que ça – c'est aprĂšs que l'Ă©glise se soit elle-mĂȘme aussi unie au Conseil des Églises, le Conseil mondial des Églises pour renier et dĂ©truire le Message, la Parole. Elles ont rejetĂ© la Parole, les Ă©glises l'ont fait. Les gens ne peuvent pas accepter Cela parce que C'est contraire Ă  leurs credo dĂ©nominationnels; peu importe combien de Colonnes de Feu seraient suspendues Ă  notre – au milieu des gens, ou combien de gens seraient... combien de choses seraient prĂ©dites et arriveraient, et tous les grands signes qu'Il a promis pour le dernier jour; ils ne peuvent le faire. 58 Maintenant, nous voyons venir ce temps de l'union. Voyez-vous? Maintenant, observez! Et alors l'Ă©glise s'est unie contre le Message, et pendant qu'elle fait cela, les nations sont en train de s'unir dans le communisme pour dĂ©truire encore l'Ă©glise. Juste exactement ce qui s'est passĂ© au commencement. Voyez-vous? Cela se rĂ©pĂšte juste encore. MARIAGE ET LE DIVORCE, LE - JEFFERSONVILLE, IN, USA 259 Et Il a continuĂ© Ă  rĂ©vĂ©ler Sa Parole au Corps, et Ă  confirmer Lui-mĂȘme qu'Il s'agit bien de Lui. Ses enfants se sont mis Ă  Lui ressembler de plus en plus, parce que tout Cela arrive Ă  une pleine maturitĂ©; autrement dit, ils deviennent des enfants de la Parole, pas des enfants de l'Ă©glise. Des enfants de la Parole! Et l'Épouse sera une charmante petite Dame de la Parole, sans mĂ©lange, qui n'a Ă©tĂ© touchĂ©e par l'organisation d'aucun homme, par aucune thĂ©orie d'homme. Elle sera l'Épouse de la Parole, pure et sans mĂ©lange! Amen et amen! J'espĂšre que vous saisissez, vous qui ĂȘtes Ă  l'Ă©coute, lĂ -bas. Elle sera la fille de Dieu, fĂ©condĂ©e. L’ UNION INVISIBLE DE L’ÉPOUSE DE CHRIST - SHREVEPORT, LA, USA 301 Ne partez pas, venez ici et restez autour... quelques-uns parmi vous qui croient vraiment que ceci est la vĂ©ritĂ©, selon laquelle nous pĂ©nĂ©trons dans un autre Ăąge. Nous pĂ©nĂ©trons dans l'Ăąge de l'EnlĂšvement. Vous savez, l'Ă©glise ne peut pas partir dans cet Ă©tat et elle ne peut pas s'amĂ©liorer; son Ă©tat doit s'empirer. Combien le savent? Qu'ils disent amen». Cela doit empirer, et elle ne peut pas partir ainsi. Voyez, il doit y avoir quelque chose, et cela bouge maintenant, mes amis. C'est en route, le mouvement est en route pour l'Épouse. C'est la vĂ©ritĂ©. C'est AINSI DIT LE SEIGNEUR. L’ UNION INVISIBLE DE L’ÉPOUSE DE CHRIST - SHREVEPORT, LA, USA 212 Nous savons tous que l'Ă©glise moderne, dans sa condition et son Ă©tat actuel, n'est pas en mesure de terminer la grande mission que Dieu a donnĂ©e Ă  l'Église pour ce jour. Combien de pentecĂŽtistes peuvent dire amen» Ă  cela? C'est vrai! 213 Nous sommes unitaires, binitaires, trinitaires, ceci ou cela. Disputes et luttes. L'un est ceci, l'autre est cela, et chacun d'eux a peur de considĂ©rer la Parole en face et subir le test. Ils savent... Vous leur parlez de cela, et ils disent Je n'y puis rien, je ne peux pas croire cela. Cela m'est Ă©gal ce qu'il fait.» Voyez-vous? LE DEUXIÈME SCEAU - - JEFFERSONVILLE, IN, USA 175 C’est exactement ce qu’ils ont fait au concile de NicĂ©e. C’est exactement ce que font les mĂ©thodistes, les presbytĂ©riens, l’église de Christ et tous les autres. Et aucun homme, peu importe ce que Dieu peut lui rĂ©vĂ©ler, il vous faut l’enseigner selon leurs papiers, selon leurs credos—credos, sinon ils vous mettront Ă  la porte. Vous n’avez pas besoin de me le dire. J’y suis allĂ©, vous voyez, et je le sais. 176 C’est exactement ce qui s’est passĂ©, et alors, toute la chose est maudite. Ce n’est pas Ă©tonnant que l’ange ait dit “Sortez du milieu d’elle, Mon peuple, afin que vous ne participiez point Ă  ses flĂ©aux.” En effet, elle va
 Elle est maudite, et elle devra subir la malĂ©diction de la colĂšre de Dieu sur elle, parce qu’elle a vendu sa vertu et ses droits. Voyez? Mais
Oh! la la! L’ EDEN DE SATAN - JEFFERSONVILLE, IN, USA 161 C’est l’église qui dĂ©tourne l’homme du droit chemin. C’est l’église, voyez-vous, qui dĂ©tourne l’homme qui veut ĂȘtre un fils de Dieu. C’est la femme, l’église. Pas la Bible, Dieu, car la Bible, c’est l’homme. Oh oui, “la Parole a Ă©tĂ© faite chair”, et Il Ă©tait un Homme. Voyez? La Bible, c’est l’homme; l’église, c’est la femme. Voyez? Ce n’est pas l’église
 la Bible qui dĂ©tourne l’homme du droit chemin. C’est l’église qui le dĂ©tourne du droit chemin. C’est Ă  cause de l’église qu’il s’est retrouvĂ© nu, pas Ă  cause de la Bible. Voyez? Absolument pas. La Bible lui dit qu’il est nu. Oui monsieur. LA FÊTE DES TROMPETTES - JEFFERSONVILLE, IN, USA 56 Les religieuses n'entrent pas au couvent pour ĂȘtre des femmes mĂ©chantes; elles y entrent pour ĂȘtre des femmes bonnes. Elles cherchent Ă  se rapprocher de Dieu, mais c'est le systĂšme qui les corrompt. Les gens adhĂšrent Ă  l'Ă©glise, non pas pour ĂȘtre quelqu'un de mĂ©chant, mais pour ĂȘtre quelqu'un de bien. Mais c'est le systĂšme de l'Ă©glise qui les Ă©loigne de la Parole et des principes que Dieu a posĂ©s pour ce jour-ci; voilĂ  ce qui les Ă©loigne du chemin. LE POUVOIR DE DIEU POUR TRANSFORMER - PHOENIX, AZ, USA 130 Et c'est ce que font tous ces programmes religieux. Les gens religieux sont encore des fils et des filles de Dieu, mais ils sont dĂ©formĂ©s. Ils vont Ă  l'Ă©glise, voulant faire le bien. Une nonne n'entre jamais au couvent pour ĂȘtre une mauvaise femme. Un ministre de l'Ă©vangile ne va jamais Ă  l'Ă©cole juste pour ĂȘtre un mauvais homme. Jamais vous ne vous joignez Ă  une Ă©glise, serrez les mains, ajoutez votre nom dans le registre ou faites quoi que ce soit dans votre Ă©glise, pour ĂȘtre une mauvaise personne. Vous faites cela pour ĂȘtre une bonne personne. Mais c'est une tromperie, c'est la dĂ©formation qui fait cela. Satan l'a vaporisĂ©e. Vous voyez? Dieu n'a jamais eu d'organisation. Il n'y a rien de tel que nous puissions trouver dans les Paroles de Dieu. L’ UNION INVISIBLE DE L’ÉPOUSE DE CHRIST - SHREVEPORT, LA, USA 83 Regardez ce qu'Hollywood a fait des femmes. Regardez comment elle a dĂ©pouillĂ© la femme de ses vertus sacrĂ©es, et nous pourrions encore continuer. Voyez tout ce qu'elle a perdu. Comment cela est-il arrivĂ©? C'est qu'il y avait un instrument subtil appelĂ© l'Ă©glise, de mĂȘme qu'il y en avait un dans le jardin d'Éden. Une personne subtile — le diable — entra dans l'Ă©glise, comme il le fit dans le jardin d'Éden. Et c'est en la trompant qu'il l'amena Ă  cela. Elle a Ă©tĂ© trompĂ©e. La femme pense... Elle ne dĂ©sire pas ĂȘtre dans l'erreur. Ève ne voulait pas agir mal. Ce ne fut pas intentionnellement, mais elle... La Bible dit, dans II TimothĂ©e 3 Elle fut sĂ©duite.» Et sĂ©duit», ce n'est pas lorsqu'on dĂ©cide quelque chose de sa propre volontĂ©, mais c'est quand on est sĂ©duit, influencĂ© pour le faire. JÉHOVAH-JIRÉ III - LOUISVILLE, MS, USA 140 Il est nĂ© comme tous les agneaux naissent. Il est nĂ© au printemps. Et il devait naĂźtre sous le signe du BĂ©lier, parce qu'Il Ă©tait un BĂ©lier, et le signe du BĂ©lier est en avril. Exactement. Il naquit sous ce signe du BĂ©lier. C'est ce qu'Il Ă©tait. Il Ă©tait le BĂ©lier de Dieu. C'est Lui sur la montagne qui prit la place d'Isaac. Amen. Ne le voyez-vous pas? 141 Voici, dĂ©montrĂ© ici clairement, l'Épouse-Semence royale ne sera pas appelĂ©e par la femelle Ă©glise, par le sacrifice de la dĂ©nomination brebis. Non, mais par Lui, la Parole manifestĂ©e du BĂ©lier, car Il est la Parole et le BĂ©lier. Non pas appelĂ©e par son nom Ă  elle, mais appelĂ©e par Son nom Ă  Lui, a-t-Il dit. Il se choisirait un peuple des nations», pas pour son nom Ă  elle, mais pour Son Nom Ă  Lui»; elle porterait Son Nom. Oh lĂ  lĂ ! De quoi avez-vous peur, alors? Un peuple des nations porterait Son Nom, le BĂ©lier; non pas son nom, l'Ă©glise, non pas elle, mais Lui. AllĂ©luia! JÉHOVAH-JIRÉ III - LOUISVILLE, MS, USA 138 Remarquez, c'Ă©tait un bĂ©lier. Si vous m'accordez un moment de plus, j'aimerais expliquer ceci. Vous savez, l'autre soir j'ai mis cela de cĂŽtĂ©. Je ne l'ai mĂȘme jamais expliquĂ© Ă  mon Ă©glise. Vous souvenez-vous quand Il a confirmĂ© ce sacrifice, confirmĂ© cette alliance avec lui, en prenant une brebis, une gĂ©nisse un veau femelle, et en les divisant, puis en prenant un bĂ©lier... Maintenant, rappelez-vous, lorsque la Semence royale de Sa foi... vous vous souvenez, ce n'Ă©tait pas une femelle, c'Ă©tait un mĂąle. C'est par le mĂąle que la promesse est accomplie. Remarquez, un bĂ©lier, un mĂąle. Un mĂąle, afin de satisfaire Ă  la Parole. Il est la Parole, ce BĂ©lier, non pas une femelle. Les femelles ont premiĂšrement Ă©tĂ© offertes, vous vous rappelez, en GenĂšse 15; elles ont Ă©tĂ© les premiĂšres Ă  ĂȘtre dĂ©posĂ©es; il a ensuite pris un bĂ©lier. Le bĂ©lier est venu en dernier. Le MĂąle, le BĂ©lier, la Parole pourvue. Non pas la brebis, l'organisation, l'Ă©glise, vous voyez; non pas la femelle, l'Ă©glise, mais le MĂąle, le BĂ©lier. Amen. C'est pourquoi Il est nĂ© en avril. LE LIEU D’ADORATION QUE DIEU A CHOISI - JEFFERSONVILLE, IN, USA 60 Remarquez, c'Ă©tait un agneau "mĂąle", un "lui", pas une "elle". Pas une Ă©glise, elle; mais Son Nom Ă  Lui, pas son nom Ă  elle. LĂ  oĂč Il allait rencontrer les gens, ce n'Ă©tait pas dans son nom Ă  elle, mais dans Son Nom Ă  Lui, l'Agneau! LES NOMS BLASPHÉMATOIRES - JEFFERSONVILLE, IN, USA 179 Eh bien, ils se plaignent de moi quand je tape contre les organisations. Ce sont des noms blasphĂ©matoires qui se disent Églises de Dieu, et Églises de Christ, et Églises mĂ©thodistes, et Ă©glises de... Ce sont des loges, pas des Ă©glises. Une seule Église, c'est l'Église du Seigneur JĂ©sus-Christ. Et qu'est-ce que c'est? Le Corps mystique de JĂ©sus-Christ en action sur la terre, faisant qu'un membre de n'importe laquelle de ces congrĂ©gations, soit un membre du Corps de Christ. Vous devez naĂźtre en Elle; pas adhĂ©rer Ă  Elle. Et adhĂ©rer Ă  ça, ce sont des noms blasphĂ©matoires. LE CHOIX D’UNE ÉPOUSE - LOS ANGELES, CA, USA 40 Il en est de mĂȘme pour le choix d’une Ă©glise. Vous devrez aussi prier pour l’église dans laquelle vous fraternisez. Rappelez-vous! Les Ă©glises ont des esprits. Je ne veux pas critiquer, mais je rĂ©alise que je suis un vieil homme et l’un de ces jours je quitterai ce monde. Le jour du Jugement, j’aurai Ă  rendre compte de ce que je dis ce soir et tout ce que j’ai dit antĂ©rieurement. Pour cette raison, je dois ĂȘtre pleinement convaincu. Mais, rendez-vous dans une Ă©glise, et surveillez bien la conduite du pasteur de cette Ă©glise. Regardez-le agir quelques instants, et vous constaterez la plupart du temps que l’église agit comme le pasteur. L’AGE DE L’ÉGLISE DE LAODICEE - JEFFERSONVILLE, IN, USA 225 Avant que nous terminions, rappelez-vous que dans le premier des Ăąges de l'Ă©glise, Il marchait au milieu de sept lampes d'or n'est-ce pas?, au milieu des sept Ăąges de l'Ă©glise. Et ici, Ă  la fin, nous Le trouvons en dehors de quelle Ă©glise? Celle de LaodicĂ©e, en dehors de l'Ă©glise de LaodicĂ©e! Ils L'ont mis dehors, ils L'ont exclu. Et Le voilĂ  qui Se tient dehors et qui essaie d'entrer! Quelle image lamentable! Le Sauveur du monde reste en dehors de l'Ă©glise qu'Il a rachetĂ©e par Son propre Sang! Honte Ă  elle! LE MESSIE - SHREVEPORT, LA, USA 93 Maintenant nous voyons que cette Église de LaodicĂ©e, l'Ăąge de l'Église dans lequel nous sommes maintenant, si vous voulez lire ce qui le concerne, cela se trouve dans Apocalypse au chapitre3, nous pouvons y voir tout ce qui s'est passĂ© quand ce Message est censĂ© ĂȘtre apportĂ©. L'Église a Ă©tĂ© tellement mondaine et elle s'est organisĂ©e Ă  tel point qu'elle en a chassĂ© son Dieu. Le passage de l'Écriture le plus pathĂ©tique que j'ai jamais vu c'est Apocalypse, chapitre3, lorsque dans l'Ăąge de l'Église de LaodicĂ©e, JĂ©sus se trouve Ă  l'extĂ©rieur de Sa propre Église, frappant pour essayer d'entrer Ă  nouveau. [FrĂšre Branham frappe sur la chaire. Lors de la premiĂšre Église, Il marchait parmi les Sept Chandeliers d'or, les Âges de l'Église, mais dans celui de LaodicĂ©e, Il Ă©tait Ă  l'extĂ©rieur essayant d'entrer Ă  nouveau dans Sa propre Église. L'ACCUSATION - Jeffersonville, Indiana, USA - Le 07 juillet 1963 283. Ce nouveau Calvaire, c'est la - l'Ă©glise, ces lieux prĂ©tendus trĂšs saints, ces chaires renommĂ©es, l'autel d catholicisme, l'autel catholique appelĂ© leur chaire. Le lieu le plus saint; mĂ©thodiste, baptiste, presbytĂ©rien, luthĂ©rien, pentecĂŽtistes, [FrĂšre Branham tape six fois sur la chaire. - Ed.] C’est dans leur lieu saint que JĂ©sus reçoit les blessures les plus cruelles - c'est un nouveau Calvaire. OĂč cela se passe-t-il? Dans les lieux saints, l'Ă©glise. 284. OĂč est-ce qu'Il est crucifiĂ©? C'est par les pasteurs. Vous hypocrites, vous en savez mieux que cela! Je ne suis pas fĂąchĂ©, mais quelque chose remue en moi. Dieu est pleinement identifiĂ© au milieu de vous. 285. OĂč reçut-Il les coups de lances qui percĂšrent Son flanc? OĂč reçut-Il des blessures? Au Calvaire. OĂč reçoit-Il cela aujourd'hui? Du haut de la chaire. D'oĂč cela venait-il? De JĂ©rusalem. D'oĂč cela venait-il? De la dĂ©nomination, de ceux qui prĂ©tendaient L'aimer, c'Ă©tait ceux-lĂ  qui avaient fait cela. Ce sont eux qui font cela aujourd'hui. Son deuxiĂšme Calvaire oĂč Il a reçu des blessures infligĂ©es Ă  la Parole... VoilĂ  ce qui Le blesse. Qui est-Il? Il est la Parole. Il est la Parole. D'oĂč a-t-Il reçu les blessures les plus cruelles? Du haut de la chaire, dans des lieux saints, exactement comme autrefois. 286. J'ai le droit d'accuser cette gĂ©nĂ©ration. [FrĂšre Branham frappe cinq fois sur la chaire. -Ed.] J'ai le droit de le faire en tant que ministre de l'Evangile de JĂ©sus-Christ, accompagnĂ© des signes qui dĂ©montrent qu'Il est Dieu. J'ai le droit de porter l'accusation contre cette gĂ©nĂ©ration, parce que les traits les plus acĂ©rĂ©s sont directement lancĂ©s du haut de la chaire mĂȘme, lĂ  oĂč ils L'ont critiquĂ© et ont dit N'allez pas Ă©couter ces choses-lĂ . C'est du diable.» A l'endroit mĂȘme oĂč Il est censĂ© ĂȘtre aimĂ©. 287. Et les signes mĂȘme dont JĂ©sus avait dit qu'ils arriveraient... La Parole de Dieu est plus tranchante qu'une Ă©pĂ©e Ă  double tranchant la Parole, Elle discerne les pensĂ©es et les intentions du cƓur; et cela est appelĂ© du diable! A partir d'oĂč? Du haut des chaires; des lieux saints! 288. Oh! Comment Dieu peut-Il baisser Son regard lĂ -dessus? C'est seulement - seulement par misĂ©ricorde, c'est tout, par grĂące. Nous ne pouvons rien faire d'autre que nous diriger vers le jugement. Nous y sommes dĂ©jĂ . Oui - oui. 289. Pensez-y! Ses blessures les plus profondes proviennent de la chaire. C'est lĂ  Son nouveau Calvaire. Ils Le crucifient, Lui la Parole, Ă  la chaire. C'est vrai. Comment? Comment - comment font-ils cela? Par leur apparence de piĂ©tĂ©. C'est exact! DISCERNER LE CORPS DU SEIGNEUR– Chatauqua, Ohio, USA– 12 aoĂ»t 1959 10. C’est la chose essentielle rĂ©pandre le Message, car nous vivons dans une heure oĂč il est plus tard que nous ne le pensons. On est Ă  la fin de l’ñge, et l’église est dans une terrible–dans une condition terrible, et nous sommes tout simplement en train d’essayer de rĂ©pandre la LumiĂšre du Soleil parmi les gens, pas pour essayer de les convertir Ă  une de nos croyances, mais pour essayer d’amener les gens Ă  vivre plus prĂšs du Seigneur JĂ©sus et Ă  croire en Lui. Pas pour tirer les membres d’une Ă©glise vers une autre Ă©glise, mais pour envoyer plus de membres Ă  cette Eglise-lĂ , voilĂ  notre but. {381-3} † À aucun instant je n’apporte aux gens un message pour les pousser Ă  me suivre ou Ă  se rattacher Ă  mon assemblĂ©e, ou Ă  fonder un groupe, une organisation. Je n’ai jamais fait cela, et je ne le ferai pas maintenant. Je n’ai pas d’intĂ©rĂȘt pour ces choses. J’ai, en revanche, un intĂ©rĂȘt pour les choses de Dieu et pour les gens, et je serai satisfait si je peux rĂ©aliser une seule chose. Cette chose, c’est de voir s’établir une relation spirituelle vĂ©ritable entre Dieu et les hommes, dans laquelle les hommes deviennent de nouvelles crĂ©atures en Christ, remplis de Son Esprit, et vivant selon Sa Parole. LA SEMENCE DU SERPENT - JEFFERSONVILLE,IN,USA 181 Et regardez bien la semence du serpent. Maintenant, regardez bien. Souvenez-vous, la semence du serpent est religieuse. Regardez-la commencer Ă  agir, lĂ , pendant quelques instants. VoilĂ  qu'elle prend son dĂ©part, la semence du serpent. Qu'est-ce qu'ils sont devenus? Je vais vous lire quelque chose, lĂ , que j'ai notĂ© cet aprĂšs-midi. L’ INVASION DES ÉTATS-UNIS - JEFFERSONVILLE, IN, USA 241 Ne voyez-vous pas combien le diable est religieux? Le diable n'est pas un anti... pas une grande chose, entiĂšrement opposĂ©e au christianisme comme l'est le communisme. Ce n'est pas ça. Ça c'est aussi le diable. Certainement, mais ce n'est pas l'anti-Christ. L'anti-Christ est trĂšs religieux, trĂšs religieux. Ce fut un esprit religieux qui crucifia JĂ©sus. Ça a toujours Ă©tĂ© un monde religieux, un peuple religieux qui crucifie. Ce fut le peuple religieux qui s'Ă©tait opposĂ© au vĂ©ritable Christ. Ce furent des prophĂštes religieux qui s'opposĂšrent Ă  MichĂ©e. Ce sont les gens religieux de ce jour qui s'opposent au Message de Dieu. 242 Souvenez-vous que je vous ai avertis. Je vous l'ai dit. Je ne parle pas beaucoup des Catholiques, des Baptistes et des MĂ©thodistes. Je suis en train de parler seulement des gens qui sont les gens de la saintetĂ©; c'est juste lĂ  parmi eux. Pensez-y aujourd'hui oĂč ils en sont arrivĂ©s aux mises en scĂšnes. Oh! La la! Quelquefois, j'entrais, mon cƓur se brisait au-dedans de moi. AUJOURD’HUI CETTE ÉCRITURE EST ACCOMPLIE - JEFFERSONVILLE, IN, USA 67 Et il arrivera qu’un jour, les choses mĂȘmes que nous voyons JĂ©hovah faire aujourd’hui, des hommes dans les Ăąges Ă  venir, s’il y en a, mourront Ă  cause de la chose dont nous parlons aujourd’hui! Vous serez obligĂ©s de le faire lorsque la marque de la bĂȘte viendra et que vous ne serez plus autorisĂ©s Ă  prĂȘcher l’Évangile de cette façon-ci. Lorsque la grande union des Ă©glises se rassemblera, ce qui est en voie de rĂ©alisation maintenant mĂȘme pour l’église du monde, vous aurez Ă  sceller votre tĂ©moignage de votre propre vie Ă  cause de Ceci. LA MARQUE DE LA BÊTE - JEFFERSONVILLE, IN, USA 199 TrĂšs bien, protestant, c'est lĂ  que vous allez ĂȘtre mis au pied du mur. Vous admettez bien qu'elle est une prostituĂ©e, mais elle Ă©tait la mĂšre» de quoi, de fils? de prostituĂ©es». Donc, ce sont des femmes. Pas vrai? [L'assemblĂ©e dit Amen.» - Ce sont des Ă©glises, alors. Pas vrai? [Amen.»] Elle est l'Ă©glise mĂšre, alors. N'est-ce pas? [Amen.»] D'oĂč est venu Martin Luther? Du catholicisme. D'oĂč est-ce que toutes celles-ci ont Ă©clos? Du catholicisme, en apportant la mĂȘme doctrine qu'ils avaient, et vous vous y pliez. L’AGE DE L’ÉGLISE DE LAODICEE - JEFFERSONVILLE, IN, USA 290 À aucune Ă©poque, Dieu n'a organisĂ© Son Église. La mĂšre des Ă©glises organisĂ©es, c'est la hiĂ©rarchie Catholique romaine. L'Ă©glise Catholique romaine est la mĂšre des organisations. Et dĂšs qu'un rĂ©veil Ă©clate dans un groupe protestant, ils reviennent tout de suite en arriĂšre et font la mĂȘme chose! La Bible dit qu'elle Ă©tait une prostituĂ©e et qu'elle avait des filles qui Ă©taient les Ă©glises sorties d'elle. Pour que ce soient des prostituĂ©es, il fallait que ce fussent des femmes. C'est ce qu'elles sont. JE SERAI AVEC TOI COMME J’AI ÉTÉ AVEC MOÏSE - JEFFERSONVILLE, IN, USA 46 Et l'organisation de l'Ă©glise, la dĂ©nomination a Ă©chouĂ©. Elles ne feront pas traverser l'Église! Dieu suscitera un nouveau systĂšme, un systĂšme interdĂ©nominationnel par la Puissance de Dieu, qui fera entrer l'Église dans la Terre Promise. Les organisations et les dĂ©nominations l'ont embrouillĂ©; chacun suit sa propre thĂ©ologie, chacun suit sa propre façon de penser. Mais Dieu prendra Son Saint-Esprit et suscitera Ses JosuĂ© qui conduiront l'Église Ă  la promesse, sans ĂȘtre attachĂ©e quelque part par des liens dĂ©nominationnels; mais Il fera traverser Son Église. L’ EDEN DE SATAN - JEFFERSONVILLE, IN, USA 33 Et c’est pour ça que Satan a agi ainsi. Et pour arriver Ă  ses fins, il s’est servi du ministĂšre, comme Dieu l’avait promis. Or, c’est par une sĂ©duction religieuse qu’il a commencĂ©, en Éden, et depuis, il a toujours continuĂ© comme ça. 34 Non pas en formant un groupe de communistes. Les communistes n’ont rien Ă  voir lĂ -dedans. C’est l’église qu’il faut surveiller, voyez-vous. Ce ne sont pas les–ce ne sont pas les communistes qui sĂ©duiraient mĂȘme les Élus. C’est l’église qui sĂ©duirait mĂȘme les Élus, voyez-vous. Ce ne sont pas les communistes; nous savons qu’ils renient Dieu, et qu’ils sont antichrists, bien sĂ»r, en principe, mais l’antichrist, ce n’est pas eux. L’antichrist est religieux, trĂšs religieux, et il peut citer l’Écriture et nous La prĂ©senter d’une façon tellement claire. EXPERIENCES 1 - Phoenix, Arizona, USA - Dimanche 7 dĂ©cembre 1947, aprĂšs-midi 33. Et maintenant, ce sont ces dons qui feront cela. Voyez, le systĂšme a changĂ©. L'Eglise a conduit le monde depuis le temps de Martin Luther. Est-ce vrai ? Mais l'Ăąge de l'Eglise est en train de toucher Ă  sa fin maintenant. C'est vrai. Ça, c'est le rĂŽle de MoĂŻse. Il touche Ă  la fin ; en effet, de mĂȘme que MoĂŻse avait dĂ©sobĂ©i Ă  Dieu, de mĂȘme l'Ă©glise a dĂ©sobĂ©i Ă  Dieu je veux dire les dĂ©nominations. Voyez-vous ce que je veux dire ? Combien pensent que vous comprenez ce dont je parle ? Merci, mes amis. Regardez. Satan cherche des fois Ă  me dire qu'ils - qu'ils ne comprennent pas cela. Mais je sais que vous comprenez. Voyez ? Cela a failli. L'Ă©glise a failli, parce qu'elle en est arrivĂ©e au point oĂč si vous n'ĂȘtes pas mĂ©thodiste, vous n'ĂȘtes pas dans la chose ; si vous n'ĂȘtes pas baptiste, vous n'ĂȘtes pas dans la chose ; si vous n'ĂȘtes pas membre des AssemblĂ©es de Dieu, vous n'ĂȘtes pas dans la chose ; si vous n'ĂȘtes pas membre des Unitaires, vous n'ĂȘtes pas dans la chose ; si - si vous n'ĂȘtes pas membre de ceci ou de cela, vous n'ĂȘtes pas dans la chose. 34. L'Ă©glise a failli. Voyez ? Au lieu de rassembler les gens en un seul corps, elle les a sĂ©parĂ©s. Juste comme MoĂŻse, au lieu de parler au rocher, il l'a frappĂ© voyez ?, et cela a failli. De mĂȘme l'Ă©glise ne fera pas traverser le Jourdain aux gens. C'est vrai. Mais maintenant, Dieu a changĂ© de systĂšme, et Il renvoie
 Vous qui prenez note de ce que je dis, il y a de grands hommes qui vont venir dans ce monde. C'est vrai. Il y a de grandes puissances en route vers ce monde. Et ce sera un peuple qui appellera un peuple Ă  sortir. Rappelez-vous "Sortez du milieu d'elle, Mon peuple. " Est-ce vrai ? Babylone, confusion que
 Et il ne s'agit donc pas de gens, il ne s'agit pas de sortir de vos Ă©glises, mais de sortir de cette confusion qui est parmi vous. Voyez ? Sortez-en, servons Dieu d'un seul cƓur, d'une mĂȘme pensĂ©e et d'un commun accord. Est-ce vrai ? Et alors, Dieu fera traverser le Jourdain Ă  Son Eglise. C'est traverser la mort. Bon, croyez cela de tout votre cƓur. ARRIVE-T-IL A DIEU DE CHANGER SA PENSÉE AU SUJET DE SA PAROLE? - JEFF, IN 73 
Et je crois que le grand ennemi de la sociĂ©tĂ© chrĂ©tienne d’aujourd’hui, ce sont les Ă©glises organisĂ©es. Je crois de tout mon cƓur que tout cela finira par former la marque de la bĂȘte je peux le prouver par la Bible avec l’aide de Dieu et je l’ai dĂ©jĂ  fait; la fĂ©dĂ©ration des Ă©glises dĂ©bouchera sur la marque de la bĂȘte. Car Dieu n’a jamais reconnu, Ă  aucun moment, une Ă©glise organisĂ©e. LA DEMEURE FUTURE DE L’ÉPOUX CÉLESTE ET DE L’ÉPOUSE TERRESTRE - - JEFFERSONVILLE, IN, USA 222 Sept jours, remarquez, qui vont “passer”, ou, ce que j'ai dit, c'est qu'ils vont “se changer en autre chose”. Huit jours, lĂ  il est question d'une nouvelle crĂ©ation, vous voyez, pas d'une ancienne crĂ©ation. Huit jours, c'est une nouvelle crĂ©ation. 223 En effet, c'est le huitiĂšme jour que notre Seigneur est ressuscitĂ© des morts. VoilĂ  l'autre convocation que vous avez, la saintetĂ©; sans considĂ©rer les sabbats du tout, ou la fĂȘte des tabernacles, la fĂȘte de ceci, et la fĂȘte de la pentecĂŽte. JĂ©sus est ressuscitĂ© des morts, pour notre justification, le huitiĂšme jour. AprĂšs les sept sabbats, ou sept jours, Sept Âges de l'Église, JĂ©sus est ressuscitĂ© des morts. Le huitiĂšme jour, qui est une sainte convocation, vous voyez, qui est le premier jour. LA SEMENCE N’HÉRITE PAS AVEC LA BALLE - JEFFERSONVILLE, IN, USA 147 Remarquez, il n'y aura plus de porteur, d'Ă©glises mĂšres, de dĂ©nominations, aprĂšs cette balle porteuse, parce qu'aprĂšs la balle, il n'y a plus... Ă  ce moment-lĂ  il ne reste plus rien que le grain. Est-ce vrai? Il faut que ce soit le grain. Ce doit ĂȘtre la mĂȘme sorte que ce qui entra dans le sol, JĂ©sus-Christ le mĂȘme hier, aujourd'hui et Ă©ternellement. 148 Un Esprit vient sur l'Épouse pour faire les mĂȘmes choses qu'Il fit. Vous voyez, c'est la nouvelle reproduction du grain. LA SEMENCE N’HÉRITE PAS AVEC LA BALLE - JEFFERSONVILLE, IN, USA 82 Ainsi, vous voyez Marie, pas par le sexe, mais par la foi, quelque chose exactement comme cela... Marie n'Ă©tait pas cette Semence. Marie fut un porteur de la Semence. Il fut la Semence authentique de foi, parce que la Parole de Dieu, c'est par la foi qu'Il la donne Ă  Abraham. Et seule la foi peut produire ce que Dieu a dit qu'Il ferait, la foi en Sa Parole. LES EVÉNEMENTS RENDUS CLAIRS PAR LA PROPHÉTIE - JEFFERSONVILLE, IN, USA 36 Et quand vous voyez l'Ă©glise devenir mondaine, comme ce qui arriva du temps de Sodome, que vous voyez le monde des Ă©glises, alors qu'elles entrent toutes dans... qu'elles adorent le dieu de cet Ăąge mauvais», de voir ça; et puis, de voir un petit groupe minoritaire rassemblĂ© sous l'inspiration de Dieu, produisant de nouveau la Vie de JĂ©sus-Christ, par les passages de l'Écriture qui sont censĂ©s arriver, vous savez Ă  quelle heure vous vivez. UNE ROBE D'OCCASION - Jeffersonville, Indiana, USA - Dimanche 25 novembre 1956, matin 61. Je vous assure, lorsque Dieu place un homme pour faire un travail dans le monde, ce dernier doit avoir quelque chose meilleur que ce qu'a le monde. Il doit avoir quelque chose meilleur que ce dont dispose l'Ă©glise. Il doit chercher une double portion. HÉBREUX CHAPITRES 5 ET 6 - PREMIÈRE PARTIE - JEFFERSONVILLE, IN, USA 24 aussi lorsque Paul... Dieu a choisi Paul. Les hommes ont choisi Matthias. Lorsqu'il... On a tirĂ© au sort, mais il n'a jamais rien fait. Cela montre quel pouvoir a donc l'Ă©glise, de faire un choix, d'Ă©lire ses diacres, et d'envoyer ses prĂ©dicateurs Ă  divers endroits! Cela est souvent charnel. 25 Laissez un homme aller oĂč Dieu le conduit Ă  aller. J'aime ça! Si les gens, dans une assemblĂ©e, disent simplement Eh, bien, voici une belle Ă©glise. Ce frĂšre a Ă©tabli une jolie Ă©glise.» Et s'ils ont un petit favori», ils l'enverront diriger cette Ă©glise. Ils ne se rendent pas compte qu'ils se tuent eux-mĂȘmes! Voyez-vous? En premier lieu, si cet homme entre lĂ , il ne peut pas prendre la place du premier. Et alors ils ne font qu'affaiblir l'Ă©glise, pour essayer de faire une faveur Ă  un favori». Cela a toujours Ă©tĂ© ainsi. HONTEUX DE LUI - JEFF, IN, USA 86 Sa Parole doit donc vivre par Elle-mĂȘme pour chaque gĂ©nĂ©ration. Elle a vĂ©cu par Elle mĂȘme du temps de MoĂŻse, car la Bible dit dans HĂ©breux au premier chapitre "Dieu, Ă  plusieurs reprises et en plusieurs maniĂšres, parla aux pĂšres par les prophĂštes...". L'Ă©glise a tellement tordu tout cela que lorsque ces prophĂštes... Ces audacieux messagers de Dieu vinrent sans Ă©glise, sans dĂ©nomination, sans organisation, sans rien, et ils dĂ©fiĂšrent des rois, des royaumes, des Ă©glises et toutes choses. LA SEMENCE DE DISCORDE - PHOENIX, AZ, USA 75 
 Ayant l'apparence de la piĂ©tĂ©, mais reniant ce qui en fait la Force, niant la Parole, simplement pour soutenir des rites religieux, quelque dogme que quelqu'un y a injectĂ©, a essayĂ© d'ajouter Ă  la Parole de Dieu. Ça ne marchera pas. C'est de la discorde. LE TEMPS ET LE SIGNE DE L’UNION - JEFFERSONVILLE, IN, USA 58 Maintenant, nous voyons venir ce temps de l'union. Voyez-vous? Maintenant, observez! Et alors l'Ă©glise s'est unie contre le Message, et pendant qu'elle fait cela, les nations sont en train de s'unir dans le communisme pour dĂ©truire encore l'Ă©glise. Juste exactement ce qui s'est passĂ© au commencement. Voyez-vous? Cela se rĂ©pĂšte juste encore. 59 IsraĂ«l devait premiĂšrement rejeter le Message. Et lorsqu'ils eurent rejetĂ© le Message, alors la vie nationale et militaire des autres nations s'unirent et vinrent pour dĂ©truire l'Ă©glise. Et aujourd'hui, ils ont rejetĂ© le Message du Seigneur JĂ©sus, et ils L'ont rejetĂ©. Et maintenant, le temps est venu oĂč le communisme est en train d'unir le monde contre l'Ă©glise. Vous voyez, il fallait qu'il en soit ainsi. Maintenant, c'est dur de dire cela. JĂ©susest la lumiĂšre du monde. Aller au contenu. Accueil; Bible Permutateur de Menu. Bible; GenĂšse; Exode; Enseignements Biblique Permutateur de Menu. Enseignements Biblique LES FRÈRES DE MOWGLI Chil Vautour conduit les pas de la nuitxxx Que Mang le Vampire dĂ©livre — Dorment les troupeaux dans l’étable clos xxx La terre Ă  nous, l’ombre la livre ! C’est l’heure du soir, orgueil et pouvoirxxx À la serre, le croc et l’ongle. Nous entendez-vous ? Bonne chasse Ă  tousxxx Qui gardez la Loi de la Jungle !xxxxxxx Chanson de nuit dans la Jungle. Il Ă©tait sept heures d’une soirĂ©e trĂšs chaude, sur les collines de Seeonee, quand pĂšre Loup s’éveilla de son somme journalier, se gratta, bĂąilla et dĂ©tendit ses pattes l’une aprĂšs l’autre pour dissiper la sensation de paresse qu’il sentait encore Ă  leurs extrĂ©mitĂ©s. MĂšre Louve Ă©tait Ă©tendue, son gros nez gris tombĂ© parmi ses quatre petits qui se culbutaient et criaient, et la lune luisait par l’ouverture de la caverne oĂč ils vivaient tous. — Augrh ! dit PĂšre Loup, il est temps de se remettre en chasse. Et il allait s’élancer vers le fond de la vallĂ©e, quand une petite ombre Ă  queue touffue barra l’ouverture et jappa — Bonne chance, ĂŽ chef des loups ! Bonne chance et fortes dents blanches aux nobles enfants. Puissent-ils n’oublier jamais en ce monde ceux qui ont faim ! C’était le chacal — Tabaqui le LĂšche-Plat — et les loups de l’Inde mĂ©prisent Tabaqui parce qu’il rĂŽde partout faisant du grabuge, colportant des histoires et mangeant des chiffons et des morceaux de cuir dans les tas d’ordures aux portes des villages. Mais ils ont peur de lui aussi, parce que Tabaqui, plus que tout autre dans la jungle, est sujet Ă  devenir enragĂ©, et alors il oublie qu’il ait jamais eu peur de quelqu’un, et il court Ă  travers la forĂȘt, mordant tout ce qu’il trouve sur sa route. Le tigre mĂȘme se sauve et se cache lorsque le petit Tabaqui devient enragĂ©, car la rage est la chose la plus honteuse qui puisse surprendre un animal sauvage. Nous l’appelons hydrophobie, mais eux l’appellent dewanee — la folie — et ils se sauvent — Entre alors, et cherche, dit PĂšre Loup avec raideur ; mais il n’y a rien Ă  manger ici. — Pour un loup, non, certes, dit Tabaqui ; mais pour un aussi mince personnage que moi, un os sec est un festin. Que sommes-nous donc, nous autres Gidur log le peuple chacal, pour trier et choisir ? Il obliqua vers le fond de la caverne, y trouva un os de chevreuil oĂč restait quelque viande, s’assit et en fit craquer le bout avec joie. — Merci pour ce bon repas ! dit-il en se lĂ©chant les lĂšvres. Qu’ils sont beaux, les nobles enfants ! Quels grands yeux ! Et si jeunes, pourtant ! Je devrais me rappeler, en effet, que les enfants des rois sont hommes dĂšs le berceau. Or, Tabaqui le savait aussi bien que personne, il n’y a rien de plus malencontreux que de louer des enfants Ă  leur nez ; il prit plaisir Ă  voir que MĂšre et PĂšre Loup semblaient gĂȘnĂ©s. Tabaqui resta un moment, en repos, en se rĂ©jouissant du mal qu’il venait de faire ; puis il reprit malignement — Shere Khan, le Grand, a changĂ© de terrain de chasse. Il va chasser sur ces collines, Ă  la prochaine lune, m’a-t-il dit. Shere Khan Ă©tait le tigre qui habitait prĂšs de la riviĂšre, la Waingunga, Ă  vingt milles plus loin. — Il n’en a pas le droit, commença PĂšre Loup avec colĂšre. De par la Loi de la Jungle, il n’a pas le droit de changer ses quartiers sans dĂ»ment avertir. Il effraiera tout le gibier Ă  dix milles Ă  la ronde, et moi
 moi j’ai Ă  tuer pour deux ces temps-ci. — Sa mĂšre ne l’a pas appelĂ© Lungri le Boiteux pour rien, dit MĂšre Louve tranquillement il est boiteux d’un pied depuis sa naissance ; c’est pourquoi il n’a jamais pu tuer que des bestiaux. À prĂ©sent, les villageois de la Waingunga sont irritĂ©s contre lui, et il vient irriter les nĂŽtres. Ils fouilleront la jungle Ă  sa recherche
 il sera loin, mais, nous et nos enfants, il nous faudra courir quand on allumera l’herbe. Vraiment, nous sommes trĂšs reconnaissants Ă  Shere Khan ! — Lui parlerai-je de votre gratitude ? dit Tabaqui. — Ouste ! jappa brusquement PĂšre Loup. Va-t’en chasser avec ton maĂźtre. Tu as fait assez de mal pour une nuit. — Je m’en vais, dit Tabaqui tranquillement. Vous pouvez entendre Shere Khan, en bas, dans les fourrĂ©s. J’aurais pu me dispenser du message. PĂšre Loup Ă©couta. En bas, dans la vallĂ©e qui descendait vers une petite riviĂšre, il entendit la plainte dure, irritĂ©e, hargneuse et chantante d’un tigre qui n’a rien pris et auquel il importe peu que toute la jungle le sache. — L’imbĂ©cile ! dit PĂšre Loup, commencer un travail de nuit par un vacarme pareil ! Pense-t-il que nos chevreuils sont comme ses veaux gras de la Waingunga ? — Chut ! Ce n’est ni bƓuf ni chevreuil qu’il chasse cette nuit, dit MĂšre Louve, c’est l’homme. La plainte s’était changĂ©e en une sorte de ronron bourdonnant qui semblait venir de chaque point de l’étendue. C’était le bruit qui Ă©gare les bĂ»cherons et les nomades Ă  la belle Ă©toile, et les fait courir quelquefois dans la gueule mĂȘme du tigre. — L’homme ! — dit PĂšre Loup, en montrant toutes ses dents blanches. — Faugh ! N’y a-t-il pas assez d’insectes et de grenouilles dans les citernes, qu’il lui faille manger l’homme, et sur notre terrain encore ? La Loi de la Jungle, qui n’ordonne rien sans raison, dĂ©fend Ă  toute bĂȘte de manger l’homme, sauf lorsqu’elle tue pour montrer Ă  ses enfants comment on tue, et alors elle doit chasser hors des rĂ©serves de son clan ou de sa tribu. La vraie raison en est que le meurtre de l’homme signifie, tĂŽt ou tard, invasion d’hommes blancs armĂ©s de fusils et montĂ©s sur des Ă©lĂ©phants, et d’hommes bruns, par centaines, munis de gongs, de fusĂ©es et de torches. Alors tout le monde souffre dans la jungle
 La raison que les bĂȘtes se donnent entre elles, c’est que, l’homme Ă©tant le plus faible et le plus dĂ©sarmĂ© des vivants, il est indigne d’un chasseur d’y toucher. Ils disent aussi — et c’est vrai — que les mangeurs d’hommes deviennent galeux et qu’ils perdent leurs dents. Le ronron grandit et se rĂ©solut dans le Aaarh ! » Ă  pleine gorge du tigre qui charge. Alors, il y eut un hurlement — un hurlement bizarre, indigne d’un tigre — poussĂ© par Shere Khan. — Il a manquĂ© son coup, dit MĂšre Louve. Qu’est-ce que c’est ? PĂšre Loup courut Ă  quelques pas de l’entrĂ©e ; il entendit Shere Khan grommeler sauvagement tout en se dĂ©menant dans la brousse. — L’imbĂ©cile a eu l’esprit de sauter sur un feu de bĂ»cherons et s’est brĂ»lĂ© les pieds ! dit PĂšre Loup en grognant. Tabaqui est avec lui. — Quelque chose monte la colline, dit MĂšre Louve en dressant une oreille. Tiens-toi prĂȘt. Il y eut un petit froissement de buissons dans le fourrĂ©. PĂšre Loup, ses hanches sous lui, se ramassa, prĂȘt Ă  sauter. Alors, si vous aviez Ă©tĂ© lĂ , vous auriez vu la chose la plus Ă©tonnante du monde le loup arrĂȘtĂ© Ă  mi-bond. Il prit son Ă©lan avant de savoir ce qu’il visait, puis il essaya de se retenir. Il en rĂ©sulta un saut de quatre ou cinq pieds droit en l’air, d’oĂč il retomba presque au mĂȘme point du sol qu’il avait quittĂ©. — Un homme ! hargna-t-il. Un petit d’homme. Regarde ! En effet, devant lui, s’appuyant Ă  une branche basse, se tenait un bĂ©bĂ© brun tout nu, qui pouvait Ă  peine marcher, le plus doux et potelĂ© petit atome qui fĂ»t jamais venu, la nuit, Ă  la caverne d’un loup. Il leva les yeux pour regarder pĂšre Loup en face et se mit Ă  rire. — Est-ce un petit d’homme ? dit mĂšre Louve. Je n’en ai jamais vu. Apporte-le ici. Un loup, accoutumĂ© Ă  transporter ses propres petits, peut trĂšs bien, s’il est nĂ©cessaire, prendre dans sa gueule un Ɠuf sans le briser. Quoique les mĂąchoires de PĂšre Loup se fussent refermĂ©es complĂštement sur le dos de l’enfant, pas une dent n’égratigna la peau lorsqu’il le dĂ©posa au milieu de ses petits. — Qu’il est mignon ! Qu’il est nu !
 Et qu’il est brave ! dit avec douceur MĂšre Louve. Le bĂ©bĂ© se poussait, entre les petits, contre la chaleur du flanc tiĂšde. — Ah ! Ah ! Il prend son repas avec les autres.
 Ainsi, c’est un petit d’homme. A-t-il jamais existĂ© une louve qui pĂ»t se vanter d’un petit d’homme parmi ses enfants ? — J’ai parfois ouĂŻ parler de semblable chose, mais pas dans notre clan ni de mon temps, dit pĂšre Loup. Il n’a pas un poil, et je pourrais le tuer en le touchant du pied. Mais, voyez, il me regarde et n’a pas peur ! Le clair de lune s’éteignit Ă  la bouche de la caverne, car la grosse tĂȘte carrĂ©e et les fortes Ă©paules de Shere Khan en bloquaient l’ouverture et tentaient d’y pĂ©nĂ©trer. Tabaqui, derriĂšre lui, piaulait — Monseigneur, Monseigneur, il est entrĂ© ici ! — Shere Khan nous fait grand honneur — dit pĂšre Loup, les yeux mauvais. — Que veut Shere Khan ? — Ma proie. Un petit d’homme a pris ce chemin. Ses parents se sont enfuis. Donnez-le-moi ! Shere Khan avait sautĂ© sur le feu d’un campement de bĂ»cherons, comme l’avait dit pĂšre Loup, et la brĂ»lure de ses pattes le rendait furieux. Mais pĂšre Loup savait l’ouverture de la caverne trop Ă©troite pour un tigre. MĂȘme oĂč il se tenait, les Ă©paules et les pattes de Shere Khan Ă©taient resserrĂ©es par le manque de place, comme les membres d’un homme qui tenterait de combattre dans un baril. — Les loups sont un peuple libre, dit pĂšre Loup. Ils ne prennent d’ordres que du Conseil supĂ©rieur du clan, et non point d’aucun tueur de bƓufs plus ou moins rayĂ©. Le petit d’homme est Ă  nous
 pour le tuer si nous en avons envie. — Envie ou pas envie
 ! Quel langage est-ce lĂ  ? Par le taureau que j’ai tuĂ©, dois-je attendre, le nez dans votre repaire de chiens, lorsqu’il s’agit de mon dĂ» le plus strict ? C’est moi, Shere Khan, qui parle. Le rugissement du tigre emplit la caverne de son tonnerre. MĂšre Louve secoua les petits de son flanc et s’élança, ses yeux, comme deux lunes vertes dans les tĂ©nĂšbres, fixĂ©s sur les yeux flambants de Shere Khan. — Et c’est moi, Raksha le DĂ©mon, qui vais te rĂ©pondre. Le petit d’homme est mien, Lungri, le mien Ă  moi ! Il ne sera point tuĂ©. Il vivra pour courir avec le clan, et pour chasser avec le clan ; et, prends-y garde, chasseur de petits tout nus, mangeur de grenouilles, tueur de poissons ! il te fera la chasse, Ă  toi ! 
 Maintenant, sors d’ici, ou, par le Sambhur que j’ai tuĂ© — car moi je ne me nourris pas de bĂ©tail mort de faim, — tu retourneras Ă  ta mĂšre, bĂȘte brĂ»lĂ©e de la jungle, plus boiteux que jamais tu n’es venu au monde. Va-t’en ! PĂšre Loup leva les yeux, stupĂ©fait. Il ne se souvenait plus des jours oĂč il avait conquis mĂšre Louve, en loyal combat contre cinq autres loups, au temps oĂč, dans les expĂ©ditions du clan, ce n’était pas par pure politesse qu’on l’appelait le DĂ©mon. Shere Khan aurait pu tenir tĂȘte Ă  pĂšre Loup, mais il ne pouvait s’attaquer Ă  mĂšre Louve, car il savait que dans la position oĂč il Ă©tait elle gardait tout l’avantage du terrain et qu’elle combattrait Ă  mort. Aussi se recula-t-il hors de l’ouverture en grondant ; et, quand il fut Ă  l’air, libre, il cria — Chaque chien aboie dans sa propre cour ! Nous verrons ce que dira le clan, comment il prendra cet Ă©levage de petit d’homme. Le petit est Ă  moi, et sous ma dent il faudra bien qu’à la fin il tombe, ĂŽ voleurs Ă  queues touffues ! MĂšre Louve se laissa retomber, haletante, parmi les petits, et pĂšre Loup lui dit gravement — LĂ , Shere Khan a raison ; le petit doit ĂȘtre montrĂ© au clan. Veux-tu encore le garder, mĂšre ? Elle souffla — Si je veux le garder !
 Il est venu tout nu, la nuit, seul et mourant de faim, et il n’avait mĂȘme pas peur. Regarde, il a dĂ©jĂ  poussĂ© un de nos bĂ©bĂ©s de cĂŽtĂ©. Et ce boucher boiteux l’aurait tuĂ© et se serait sauvĂ© ensuite vers la Waingunga, tandis que les villageois d’ici seraient accourus, Ă  travers nos reposĂ©es, faire une battue pour en tirer vengeance !
 Si je le garde ? AssurĂ©ment, je le garde. Couche-toi lĂ , petite grenouille
 Ô toi, Mowgli, car Mowgli la Grenouille je veux t’appeler, le temps viendra oĂč tu feras la chasse Ă  Shere Khan comme il t’a fait la chasse Ă  toi ! — Mais que dira notre clan ? dit pĂšre Loup. La Loi de la Jungle Ă©tablit trĂšs clairement que chaque loup peut, lorsqu’il se marie, se retirer du clan auquel il appartient ; mais, aussitĂŽt que ses petits sont assez ĂągĂ©s pour se tenir sur leurs pattes, il doit les amener au conseil du clan, qui se rĂ©unit gĂ©nĂ©ralement une fois par mois Ă  la pleine lune, afin que les autres loups puissent reconnaĂźtre leur identitĂ©. AprĂšs cet examen, les petits sont libres de courir oĂč il leur plaĂźt, et jusqu’à ce qu’ils aient tuĂ© leur premier chevreuil, il n’est pas d’excuse valable pour le loup adulte et du mĂȘme clan qui tuerait l’un d’eux. Le chĂątiment est la mort pour le meurtrier oĂč qu’on le trouve, et, si vous rĂ©flĂ©chissez une minute, vous verrez qu’il en doit ĂȘtre ainsi. PĂšre Loup attendit jusqu’à ce que ses petits pussent courir un peu, et alors, la nuit de l’assemblĂ©e, il les emmena avec Mowgli et mĂšre Louve au Rocher du Conseil — un sommet de colline couvert de pierres et de galets, oĂč une centaine de loups pouvaient s’isoler. Akela, le grand loup gris solitaire, que sa vigueur et sa finesse avaient mis Ă  la tĂȘte du clan, Ă©tait Ă©tendu de toute sa longueur sur sa pierre ; un peu au-dessous de lui Ă©taient assis plus de quarante loups de toutes tailles et de toutes robes, depuis les vĂ©tĂ©rans couleur de blaireau, qui pouvaient, Ă  eux seuls, se tirer d’affaire avec un chevreuil, jusqu’aux jeunes loups noirs de trois ans, qui s’en croyaient capables. Le solitaire Ă©tait Ă  leur tĂȘte depuis un an maintenant. Au temps de sa jeunesse, il Ă©tait tombĂ© deux fois dans un piĂšge Ă  loup, et une autre fois il avait Ă©tĂ© assommĂ© et laissĂ© pour mort aussi connaissait-il les us et coutumes des hommes. On causait fort peu sur la roche. Les petits se culbutaient l’un l’autre au centre du cercle oĂč siĂ©geaient leurs mĂšres et leurs pĂšres, et, de temps en temps, un loup plus ĂągĂ© se dirigeait tranquillement vers un petit, le regardait avec attention, et regagnait sa place Ă  pas silencieux. Parfois, une mĂšre poussait son petit en plein clair de lune pour ĂȘtre sĂ»re qu’il n’avait point passĂ© inaperçu. Akela, de son cĂŽtĂ©, criait — Vous connaissez la Loi, vous connaissez la Loi. Regardez bien, ĂŽ loups ! Et les mĂšres reprenaient le cri — Regardez, regardez bien, ĂŽ loups ! À la fin et mĂšre Louve sentit se hĂ©risser les poils de son cou lorsque arriva ce moment, pĂšre Loup poussa Mowgli la Grenouille », comme ils l’appelaient, au milieu du cercle, oĂč il resta par terre Ă  rire et Ă  jouer avec les cailloux qui scintillaient dans le clair de lune. Akela ne leva pas sa tĂȘte d’entre ses pattes mais continua le cri monotone — Regardez bien !
 Un rugissement sourd partit de derriĂšre les rochers ; la voix de Shere Khan criait — Le petit est mien. Donnez-le-moi. Le Peuple Libre, qu’a-t-il Ă  faire d’un petit d’homme ? Akela ne remua mĂȘme pas les oreilles ; il dit simplement — Regardez bien, ĂŽ loups ! Le Peuple Libre, qu’a-t-il Ă  faire des ordres de n’importe qui, hormis de ceux du Peuple Libre !
 Regardez bien ! Il y eut un chƓur de sourds grognements, et un jeune loup de quatre ans, tournĂ© vers Akela, rĂ©pĂ©ta la question de Shere Khan — Le Peuple Libre, qu’a-t-il Ă  faire d’un petit d’homme ? Or, la Loi de la Jungle, en cas de dispute sur les droits d’un petit Ă  l’acceptation du clan, exige que deux membres au moins du clan, qui ne soient ni son pĂšre ni sa mĂšre, prennent la parole en sa faveur. — Qui parle pour ce petit ? dit Akela. Dans le Peuple Libre, qui parle ? Il n’y eut pas de rĂ©ponse, et mĂšre Louve s’apprĂȘtait pour ce qui serait son dernier combat, elle le savait bien, s’il fallait en venir Ă  combattre. Alors, le seul Ă©tranger qui soit admis au conseil du clan — Baloo, l’ours brun endormi, qui enseigne aux petits la Loi de la Jungle, le vieux Baloo qui peut aller et venir partout oĂč il lui plaĂźt, parce qu’il mange uniquement des noix, des racines et du miel — se leva sur son sĂ©ant et grogna. — Le petit d’homme
 le petit d’homme ?
 dit-il. C’est moi qui parle pour le petit d’homme. Il n’y a pas de mal dans un petit d’homme. Je n’ai pas le don de la parole, mais je dis la vĂ©ritĂ©. Laissez-le courir avec le clan, et qu’on l’enrĂŽle parmi les autres. C’est moi-mĂȘme qui lui donnerai des leçons. — Nous avons encore besoin d’un d’autre, dit Akela. Baloo a parlĂ©, et c’est lui qui enseigne nos petits. Qui parle avec Baloo ? Une ombre tomba au milieu du cercle. C’était Bagheera, la panthĂšre noire. Sa robe est tout entiĂšre noire comme l’encre, mais les marques de la panthĂšre y affleurent, sous certains jours, comme font les reflets de la moire. Chacun connaissait Bagheera, et personne ne se souciait d’aller Ă  l’encontre de ses desseins, car elle Ă©tait aussi rusĂ©e que Tabaqui, aussi hardie que le buffle sauvage et aussi intrĂ©pide que l’élĂ©phant blessĂ©. Mais sa voix Ă©tait plus suave que le miel sauvage, qui tombe goutte Ă  goutte des arbres, et sa peau plus douce que le duvet. — Ô Akela, et vous, Peuple Libre ! ronronna-t-elle, je n’ai aucun droit dans votre assemblĂ©e. Mais la Loi de la Jungle dit que, s’il s’élĂšve un doute, dans une affaire oĂč il ne soit pas question de meurtre, Ă  propos d’un nouveau petit, la vie de ce petit peut ĂȘtre rachetĂ©e moyennant un prix. Et la Loi ne dit pas qui a droit ou non de payer ce prix. Ai-je raison ? — TrĂšs bien ! trĂšs bien, firent les jeunes loups, qui ont toujours faim. — Écoutons Bagheera. Le petit peut ĂȘtre rachetĂ©. C’est la Loi. — Sachant que je n’ai aucun droit de parler ici, je demande votre permission. — Parle donc, criĂšrent vingt voix. — Tuer un petit nu est une honte. En outre, il pourra nous aider Ă  chasser mieux quand il sera en Ăąge. Baloo a parlĂ© en sa faveur. Maintenant, Ă  ce qu’a dit Baloo, j’ajouterai l’offre d’un taureau, et bien gras, fraĂźchement tuĂ© Ă  un demi-mille d’ici Ă  peine, si vous acceptez le petit d’homme, conformĂ©ment Ă  la Loi. Y a-t-il une difficultĂ© ? Il s’éleva une clameur de voix disant par vingtaines — Qu’importe ! Il mourra sous les pluies de l’hiver ; il sera grillĂ© par le soleil
 Quel mal peut nous faire une grenouille nue ?
 Qu’il coure avec le clan !
 OĂč est le taureau, Bagheera ?
 Qu’on l’accepte. Et alors revint l’aboiement profond d’Akela. — Regardez bien
 regardez bien, ĂŽ loups ! Mowgli continuait Ă  s’intĂ©resser aux cailloux ; il ne daigna prĂȘter aucune attention aux loups qui vinrent un Ă  un l’examiner. À la fin, ils descendirent tous la colline, Ă  la recherche du taureau mort, et seuls restĂšrent Akela, Bagheera, Baloo et les loups de Mowgli. Shere Khan rugissait encore dans la nuit, car il Ă©tait fort en colĂšre que Mowgli ne lui eĂ»t pas Ă©tĂ© livrĂ©. — Oui, tu peux rugir, dit Bagheera dans ses moustaches car le temps viendra oĂč cette petite chose nue te fera rugir sur un autre ton, ou je ne sais rien de l’homme. — Nous avons bien fait, dit Akela les hommes et leurs petits sont gens trĂšs avisĂ©s. Le moment venu, il pourra ĂȘtre utile. — C’est vrai, dit Bagheera ; le moment venu, on pourra en avoir besoin car personne ne peut espĂ©rer conduire le clan toujours ! Akela ne rĂ©pondit rien. Il pensait au temps qui arrive pour chaque chef de clan, oĂč sa force l’abandonne et oĂč, plus affaibli de jour en jour, il est tuĂ© Ă  la fin par les loups et remplacĂ© par un nouveau chef, qui sera Ă  son tour. — Emmenez-le, dit-il Ă  pĂšre Loup, et dressez-le comme il sied Ă  un membre du Peuple Libre. Et c’est ainsi que Mowgli entra dans le clan des loups de Seeonee, au prix d’un taureau et pour une bonne parole de Baloo. Maintenant, il faut vous donner la peine de sauter dix ou onze annĂ©es entiĂšres, et d’imaginer seulement l’étonnante existence que Mowgli mena parmi les loups, parce que, s’il fallait l’écrire, cela remplirait je ne sais combien de livres. — Il grandit avec les louveteaux, quoique, naturellement, ils fussent devenus loups quand lui-mĂȘme comptait Ă  peine pour un enfant ; et pĂšre Loup lui enseigna sa besogne, et le sens de toutes choses dans la jungle, jusqu’à ce que chaque frĂ©missement de l’herbe, chaque souffle de l’air chaud dans la nuit, chaque intonation des hiboux au-dessus de sa tĂȘte, chaque bruit d’écorce Ă©gratignĂ©e par la chauve-souris au repos, un instant, dans l’arbre, chaque saut du plus petit poisson dans la mare, prissent juste autant d’importance pour lui que pour un homme d’affaires son travail de bureau. Lorsqu’il n’apprenait pas, il s’asseyait au soleil et dormait, puis il mangeait, se rĂ©endormait ; lorsqu’il se sentait sale ou qu’il avait trop chaud, il se baignait dans les mares de la forĂȘt, et lorsqu’il manquait de miel Baloo lui avait dit que le miel et les noix Ă©taient tout aussi agrĂ©ables Ă  manger que la viande crue, il grimpait aux arbres pour en chercher, et Bagheera lui avait montrĂ© comment s’y prendre. Elle s’étendait sur une branche et appelait Viens ici, petit frĂšre ! » et Mowgli commença par grimper comme fait le paresseux, mais par la suite il osa se lancer Ă  travers les branches presque aussi hardiment que le singe gris. Il prit sa place au Rocher du Conseil, lorsque le clan s’y rĂ©unissait, et, lĂ , il dĂ©couvrit qu’en regardant fixement un loup quelconque il pouvait le forcer Ă  baisser les yeux ainsi faisait-il pour s’amuser. À d’autres moments, il arrachait les longues Ă©pines du poil de ses amis, car les loups souffrent terriblement des Ă©pines et de tous les aiguillons qui se logent dans leur fourrure. Il descendait, la nuit, le versant de la montagne, vers les terres cultivĂ©es, et regardait avec une grande curiositĂ© les villageois dans leurs huttes ; mais il se mĂ©fiait des hommes parce que Bagheera lui avait montrĂ© une boĂźte carrĂ©e, avec une trappe, si habilement dissimulĂ©e dans la jungle qu’il marcha presque dessus, et elle lui avait dit que c’était un piĂšge. Ce qu’il aimait par-dessus tout, c’était de s’enfoncer avec Bagheera au chaud cƓur noir de la forĂȘt, pour dormir tout le long de la lourde journĂ©e, et voir, quand venait la nuit, comment Bagheera s’y prenait pour tuer elle tuait de droite, de gauche, au caprice de sa faim, et de mĂȘme faisait Mowgli — Ă  une exception prĂšs. AussitĂŽt qu’il eut l’ñge de comprendre, Bagheera lui dit qu’il ne devrait jamais toucher au bĂ©tail parce qu’il avait Ă©tĂ© rachetĂ©, dans le Conseil du clan, au prix de la vie d’un taureau. — La jungle t’appartient, dit Bagheera, et tu peux y tuer tout ce que tu es assez fort pour tuer ; mais, en souvenir du taureau qui t’a rachetĂ©, tu ne dois jamais tuer ni manger de bĂ©tail jeune ou vieux. C’est la Loi de la Jungle. Mowgli s’y conforma fidĂšlement. Il grandit ainsi et devint fort comme le devient naturellement un garçon qui ne va pas Ă  l’école et n’a Ă  s’occuper de rien dans la vie que de choses Ă  manger. MĂšre Louve lui dit, une fois ou deux, que Shere Khan n’était pas un ĂȘtre auquel on dĂ»t se fier, et qu’un jour il lui faudrait tuer Shere Khan ; et sans doute un jeune loup se fĂ»t rappelĂ© cet avis Ă  chaque heure de sa vie, mais Mowgli l’oublia parce qu’il n’était qu’un petit garçon — et pourtant il se serait donnĂ© Ă  lui-mĂȘme le nom de loup s’il avait su parler aucune langue humaine. Shere Khan se trouvait toujours sur son chemin dans la jungle. À mesure que le chef Akela prenait de l’ñge et s’affaiblissait, le tigre boiteux s’était liĂ© de grande amitiĂ© avec les loups plus jeunes de la tribu, qui le suivaient pour avoir ses restes, chose que jamais Akela n’aurait permise s’il avait osĂ© aller jusqu’au bout de son autoritĂ© lĂ©gitime. En outre, Shere Khan les flattait il s’étonnait que de si beaux jeunes chasseurs fussent satisfaits de se laisser conduire par un loup moribond et par un petit d’homme. — On me raconte, disait Shere Khan, que vous autres, au Conseil, vous n’osez pas le regarder entre les yeux ! Et les jeunes loups grondaient et hĂ©rissaient leur dos. Bagheera, qui avait les yeux et les oreilles partout, appris quelque chose de cela, et, une fois ou deux, expliqua nettement Ă  Mowgli que Shere Khan le tuerait un beau jour. Et Mowgli riait, et rĂ©pondait — J’ai pour moi le clan, j’ai toi
 et Baloo, bien qu’il soit si paresseux, donnerait bien un coup de patte ou deux en mon honneur. Pourquoi m’effraierais-je ? Ce fut un jour de grande chaleur qu’une idĂ©e, nĂ©e de quelque propos entendu, se forma dans le cerveau de Bagheera. Peut-ĂȘtre Ă©tait-ce Sahi, le porc-Ă©pic, qui lui avait parlĂ© de la chose. En tout cas, elle dit Ă  Mowgli, comme ils Ă©taient au plus profond de la jungle et que le petit garçon Ă©tait couchĂ©, la tĂȘte sur la belle fourrure noire de la panthĂšre — Petit FrĂšre, combien de fois t’ai-je averti que Shere Khan est ton ennemi ? — Autant de fois qu’il y a de noix sur cette palme ! dĂ©clara Mowgli, qui, naturellement, ne savait pas compter. Et puis aprĂšs ? 
 J’ai sommeil, Bagheera, et Shere Khan est tout en queue et en cris
 comme Mor, le Paon. — Mais ce n’est plus temps de dormir. Baloo le sait, je le sais aussi, tout le clan le sait, et mĂȘme ces imbĂ©ciles, ces imbĂ©ciles de daims le savent
 Tabaqui te l’a dit lui-mĂȘme. — Oh ! oh ! dit Mowgli, Tabaqui est venu Ă  moi, il n’y a pas longtemps, pour me raconter je ne sais plus quelle impertinente histoire j’étais un petit d’homme, un petit nu, pas mĂȘme bon Ă  dĂ©terrer les truffes
 Mais j’ai pris Tabaqui par la queue et l’ai cognĂ© Ă  deux reprises contre un palmier pour lui apprendre de meilleures maniĂšres. — C’était une sottise, car si Tabaqui est un faiseur de ragots, il n’en voulait pas moins te parler d’une chose qui te touche de prĂšs. Ouvre donc ces yeux-lĂ , petit frĂšre Shere Khan n’ose pas te tuer dans la jungle ; mais rappelle-toi bien qu’Akela est trĂšs vieux, que bientĂŽt viendra le jour oĂč il ne pourra plus tuer son chevreuil, et qu’alors il ne conduira plus le clan. Beaucoup des loups qui t’examinĂšrent quand tu fus prĂ©sentĂ© au Conseil sont vieux maintenant, eux aussi, et les jeunes loups pensent — Shere Khan leur a fait la leçon — qu’un petit d’homme n’est pas Ă  sa place dans le clan. BientĂŽt tu seras un homme
 — Et qu’est-ce que c’est qu’un homme qui ne courrait pas avec ses frĂšres ? dit Mowgli. Je suis nĂ© dans la jungle, j’ai obĂ©i Ă  la Loi de la Jungle, et il n’y a pas un de nos loups des pattes duquel je n’aie tirĂ© une Ă©pine. Ils sont bien mes frĂšres ! Bagheera s’étendit de toute sa longueur, et ferma les yeux Ă  demi. — Petit frĂšre, dit-elle, mets ta main sous ma mĂąchoire. Mowgli avança sa forte main brune, et, juste sous le menton soyeux de Bagheera, oĂč les formidables muscles roulaient dissimulĂ©s dans la fourrure lustrĂ©e, il sentit une petite place nue. — Il n’y a personne dans la jungle qui sache que moi, Bagheera, je porte cette marque
 la marque du collier ; et pourtant, petit frĂšre, je suis nĂ©e parmi les hommes, et c’est parmi les hommes que ma mĂšre mourut, dans les cages du palais royal, Ă  Oodeypore. C’est Ă  cause de cela que j’ai payĂ© le prix au Conseil, quand tu Ă©tais un pauvre petit tout nu. Oui, moi aussi, je naquis parmi les hommes. Je n’avais jamais vu la jungle. On m’a nourrie derriĂšre des barreaux dans une marmite de fer ; mais une nuit je sentis que j’étais Bagheera — la panthĂšre — et non pas un jouet pour les hommes, je brisai la misĂ©rable serrure d’un coup de patte, et m’en allai. Puis, comme j’avais appris les maniĂšres des hommes, je devins plus terrible dans la jungle que Shere-Khan, n’est-il pas vrai ? — Oui, dit Mowgli, toute la jungle craint Bagheera
 toute la jungle, sauf Mowgli. — Oh ! toi, tu es un petit d’homme ! dit la panthĂšre noire avec une infinie tendresse ; et de mĂȘme que je suis retournĂ©e Ă  ma jungle, ainsi tu dois Ă  la fin retourner aux hommes, aux hommes qui sont tes frĂšres
 si tu n’es point d’abord tuĂ© au Conseil ! — Mais pourquoi, pourquoi quelqu’un dĂ©sirerait-il me tuer ? rĂ©pliqua Mowgli. — Regarde-moi, dit Bagheera. Et Mowgli la regarda fixement, entre ses yeux. La grande panthĂšre tourna la tĂȘte au bout d’une demi-minute. — VoilĂ  pourquoi ! — dit-elle, en croisant ses pattes sur les feuilles. — Moi-mĂȘme je ne peux te regarder entre les yeux, et pourtant je suis nĂ©e parmi les hommes, et je t’aime, petit frĂšre. Les autres, ils te haĂŻssent parce que leurs yeux ne peuvent soutenir les tiens ; parce que tu es sage ; parce que tu as tirĂ© de leurs pieds les Ă©pines
 parce que tu es un homme. — Je ne savais pas ces choses, dit Mowgli d’un ton boudeur. Et il fronça ses lourds sourcils noirs. — Qu’est-ce que la Loi de la Jungle ? Frappe d’abord, et donne de la voix. À ton insouciance mĂȘme, ils voient que tu es un homme. Mais sois prudent. J’ai au cƓur une certitude la premiĂšre fois que le vieil Akela manquera sa proie — et chaque jour il a plus de peine Ă  agrafer son chevreuil — le clan se tournera contre lui et contre toi. Ils tiendront une assemblĂ©e sur le Rocher, et alors
 et alors
 J’y suis ! — dit Bagheera en se levant d’un bond. — Descends vite aux huttes des hommes dans la vallĂ©e, et prends-y un peu de la Fleur Rouge qu’ils y font pousser ; ainsi, quand le moment sera venu, auras-tu un alliĂ© plus fort mĂȘme que moi ou Baloo ou ceux de la tribu qui t’aiment. Va chercher la Fleur Rouge. Par Fleur Rouge, Bagheera voulait dire du feu. Mais aucune crĂ©ature de la jungle n’appelait le feu par son vrai nom. Chaque bĂȘte en Ă©prouve, toute sa vie, une crainte mortelle, et invente cent maniĂšres de le dĂ©crire sans le nommer. — La Fleur Rouge ! dit Mowgli. Cela pousse au crĂ©puscule auprĂšs de leurs huttes. J’irai en chercher. — VoilĂ  bien le petit d’homme qui parle ! dit Bagheera avec orgueil. Rappelle-toi qu’elle pousse dans de petits pots. Prends-en un rapidement, et garde-le avec toi pour le moment oĂč tu en auras besoin. — Bon, dit Mowgli, j’y vais. Mais es-tu sĂ»re, ĂŽ ma Bagheera — il passa son bras autour du cou splendide, et plongea son regard au fond des grands yeux — es-tu sĂ»re que tout cela soit l’Ɠuvre de Shere Khan ? — Par la Serrure brisĂ©e qui me dĂ©livra, j’en ai la certitude, petit frĂšre ! — Alors, par le Taureau qui me racheta ! je payerai Ă  Shere Khan ce que je lui dois, honnĂȘtement ; il se peut mĂȘme qu’il reçoive un peu plus que son compte. Et Mowgli partit d’un bond. — VoilĂ  l’homme ! VoilĂ  bien l’homme, se dit la panthĂšre Ă  elle-mĂȘme en se recouchant. Oh ! Shere Khan, tu n’as jamais fait chasse plus dangereuse que cette chasse Ă  la grenouille, il y a dix ans ! Mowgli Ă©tait dĂ©jĂ  loin parmi la forĂȘt, trottant ferme, et il sentait son cƓur tout chaud dans sa poitrine. Il arriva Ă  la caverne au moment oĂč s’élevait le brouillard du soir ; il reprit haleine et regarda en bas, dans la vallĂ©e. Les petits loups Ă©taient sortis, mais la mĂšre, au fond de la caverne, comprit, Ă  son souffle que quelque chose troublait sa grenouille. — Qu’y a-t-il, fils ? dit-elle. — Des potins de chauve-souris Ă  propos de Shere Khan ! rĂ©pondit-il. Je chasse en terre labourĂ©e, ce soir. Et il plongea dans les broussailles pour gagner le cours d’eau, tout au fond de la vallĂ©e. LĂ , il s’arrĂȘta, car il entendit les cris du clan en chasse, il entendit meugler un sambhur traquĂ©, le rĂąle de la bĂȘte aux abois. Puis montĂšrent des hurlements de dĂ©rision et de mĂ©chancetĂ© c’étaient les jeunes loups. — Akela ! Akela ! Que le Solitaire montre sa force ! 
 Place au chef du clan ! Saute, Akela ! Le solitaire dut sauter et manquer sa prise, car Mowgli entendit le claquement de ses dents et un glapissement lorsque le sambhur, avec ses pieds de devant, le culbuta. Il ne resta pas Ă  en Ă©couter davantage, mais s’élança en avant ; et les cris s’affaiblirent derriĂšre lui Ă  mesure qu’il se hĂątait vers les terres cultivĂ©es oĂč demeuraient les villageois. — Bagheera disait vrai ! souffla-t-il, en se nichant parmi le fourrage amoncelĂ© sous la fenĂȘtre d’une hutte. — Demain, c’est le jour d’Akela et le mien. Alors, il appliqua son visage contre la fenĂȘtre et considĂ©ra le feu sur l’ñtre ; il vit la femme du laboureur se lever pendant la nuit et nourrir la flamme avec des mottes noires ; et quand vint le matin, Ă  l’heure oĂč blanchit la brume froide, il vit l’enfant de l’homme prendre une corbeille d’osier garnie de terre Ă  l’intĂ©rieur, l’emplir de charbons rouges, l’enrouler dans sa couverture, et s’en aller garder les vaches. — N’est-ce que cela ? dit Mowgli. Si un enfant peut le faire, je n’ai rien Ă  craindre. Il tourna le coin de la maison, rencontra le garçon nez Ă  nez, lui arracha le feu des mains et disparut dans le brouillard, tandis que l’autre hurlait de frayeur. — Ils sont tout Ă  fait semblables Ă  moi ! dit Mowgli en soufflant sur le pot de braise, comme il l’avait vu faire Ă  la femme. — Cette chose mourra si je ne lui donne rien Ă  manger
 Et il jeta quelques brindilles et des morceaux d’écorce sĂšche sur la chose rouge. À moitiĂ© chemin de la colline, il rencontra Bagheera, sur la fourrure de laquelle la rosĂ©e du matin brillait comme des pierres de lune. — Akela a manquĂ© son coup, dit la PanthĂšre. Ils l’auraient tuĂ© la nuit derniĂšre, mais ils te voulaient aussi. Ils t’ont cherchĂ© sur la colline. — J’étais dans les terres labourĂ©es. Je suis prĂȘt. Vois ! Mowgli lui tendit le pot plein de feu. — Bien ! 
 À prĂ©sent j’ai vu les hommes jeter branche sĂšche dans cette chose, et aussitĂŽt la Fleur Rouge s’épanouissait au bout
 Est-ce que tu n’as pas peur ? — Non. Pourquoi aurais-je peur ? Je me rappelle maintenant
 si ce n’est pas un rĂȘve
 qu’avant d’ĂȘtre un loup je me couchais prĂšs de la Fleur Rouge, et qu’il y faisait chaud et bon. Tout ce jour-lĂ , Mowgli resta assis dans la caverne, veillant sur son pot de braise et y enfonçant des branches sĂšches pour voir comment elles brĂ»laient. Il chercha et trouva une branche qui lui parut Ă  souhait, et, le soir, quand Tabaqui vint Ă  la caverne lui dire assez rudement qu’on le demandait au Rocher du Conseil, il se mit Ă  rire jusqu’à ce que Tabaqui s’enfuĂźt. Et Mowgli se rendit au Conseil, toujours riant. Akela le Solitaire Ă©tait couchĂ© Ă  cĂŽtĂ© de sa pierre pour montrer que sa succession Ă©tait ouverte, et Shere Khan, avec sa suite de loups nourris de restes, se promenait de long en large, objet de visibles flatteries. Bagheera Ă©tait couchĂ©e Ă  cĂŽtĂ© de Mowgli, et l’enfant tenait le pot de braise entre ses genoux. Lorsqu’ils furent tous rassemblĂ©s, Shere Khan prit la parole — chose qu’il n’aurait jamais osĂ© faire aux beaux jours d’Akela. — Il n’a pas le droit, murmura Bagheera. Dis-le. C’est un fils de chien. Il aura peur. Mowgli sauta sur ses pieds. — Peuple Libre, s’écria-t-il, est-ce que Shere Khan est notre chef ?
 Qu’est-ce qu’un tigre peut avoir Ă  faire avec la direction du clan ? — Voyant que la succession Ă©tait ouverte, et comme on m’avait priĂ© de parler
, commença Shere Khan. — Qui t’en avait priĂ© ? fit Mowgli. Sommes-nous tous des chacals pour flagorner ce boucher ? La direction du clan regarde le clan seul. Il y eut des hurlements — Silence, toi, petit homme ! — Laissez-le parler. Il a gardĂ© notre loi ! Et, Ă  la fin, les anciens du clan tonnĂšrent — Laissez parler le Loup Mort ! Lorsqu’un chef de clan a manquĂ© sa proie, on l’appelle le Loup Mort » aussi longtemps qu’il lui reste Ă  vivre, ce qui n’est pas long. Akela pĂ©niblement souleva sa vieille tĂȘte, pĂ©niblement — Peuple Libre, et vous aussi, chacals de Shere Khan, pendant douze saisons je vous ai conduits Ă  la chasse et vous en ai ramenĂ©s, et pendant tout ce temps, nul de vous n’a Ă©tĂ© pris au piĂšge ni estropiĂ©. Je viens de manquer ma proie. Vous savez comment a Ă©tĂ© nouĂ©e cette intrigue. Vous savez comment vous m’avez menĂ© Ă  un chevreuil qui n’avait pas Ă©tĂ© forcĂ©, pour montrer ma faiblesse. Ce fut habilement fait. Vous avez maintenant le droit de me tuer sur le Rocher du Conseil. C’est pourquoi je demande Qui vient achever le Solitaire ? Car c’est mon droit, de par la Loi de la Jungle, que vous veniez un par un. Il y eut un long silence aucun loup ne se souciait d’un duel Ă  mort avec le solitaire. Alors Shere Khan rugit — Bah ! Qu’avons-nous Ă  faire avec ce vieil Ă©dentĂ© ? Il est condamnĂ© Ă  mourir ! C’est le petit d’homme qui a vĂ©cu trop longtemps. Peuple Libre, il fut ma proie dĂšs le principe. Donnez-le-moi. J’en ai assez de cette plaisanterie d’homme-loup. Il a troublĂ© la jungle pendant dix saisons. Donnez-moi le petit d’homme, ou bien je chasserai toujours par ici, et ne vous donnerai pas un os. C’est un homme, un enfant d’homme, et, dans la moelle de mes os, je le hais ! Alors, plus de la moitiĂ© du clan hurla — Un homme ! Un homme ! Qu’est-ce qu’un homme peut avoir Ă  faire avec nous ? Qu’il s’en aille avec ses pareils. — C’est cela ! Pour tourner contre nous tout le peuple des villages ? vocifĂ©ra Shere Khan. Non, non, donnez-le moi. C’est un homme, et nul de nous ne peut le fixer dans les yeux. Akela dressa de nouveau la tĂȘte, et dit — Il a partagĂ© notre curĂ©e. Il a dormi avec nous. Il a rabattu le gibier pour nous. Il n’a pas enfreint un seul mot de la Loi de la Jungle ! — Et moi, je l’ai payĂ© le prix d’un taureau, lorsqu’il fut acceptĂ© un taureau, c’est peu de chose ; mais l’honneur de Bagheera vaut peut-ĂȘtre une bataille ! dit Bagheera de sa voix la plus onctueuse. — Un taureau payĂ© voilĂ  dix ans ! grogna l’assemblĂ©e. Que nous importent des os qui ont dix ans ! — Et un serment ? fit Bagheera en relevant sa lĂšvre sur ses dents blanches. Ah ! on fait bien de vous nommer le Peuple Libre ! — Nul petit d’homme ne doit courir avec le Peuple de la Jungle ! rugit Shere Khan. Donnez-le-moi ! — Il est notre frĂšre en tout, sauf par le sang, poursuivit Akela ; et vous le tueriez ici !
 En vĂ©ritĂ©, j’ai vĂ©cu trop longtemps. Quelques-uns d’entre vous sont des mangeurs de bĂ©tail, et j’ai entendu dire que d’autres, suivant les leçons de Shere Khan, vont par la nuit noire enlever des enfants aux seuils des villageois. Donc je sais que vous ĂȘtes lĂąches, et c’est Ă  des lĂąches que je parle. Il est certain que je dois mourir, et ma vie ne vaut plus grand-chose ; autrement, je l’offrirais pour celle du Petit d’Homme. Mais, afin de sauver l’honneur du clan
 presque rien, apparemment, qu’à force de vivre sans chef vous avez oublié  je m’engage, si vous laissez le Petit d’Homme retourner chez les siens, Ă  ne pas montrer une dent lorsque le moment sera venu pour moi de mourir. Je mourrai sans me dĂ©fendre. Le clan y gagnera au moins trois existences. Je ne puis faire plus ; mais, si vous consentez, je puis vous Ă©pargner la honte de tuer un frĂšre auquel on ne saurait reprocher aucun tort
 un frĂšre qui fut rĂ©clamĂ©, achetĂ©, pour ĂȘtre admis dans le clan, suivant la Loi de la Jungle. — C’est un homme ! 
 un homme ! 
 un homme ! gronda l’assemblĂ©e. Et la plupart des loups firent mine de se grouper autour de Shere Khan, dont la queue se mit Ă  fouailler les flancs. — À prĂ©sent, l’affaire est en tes mains ! dit Bagheera Ă  Mowgli. Nous autres, nous ne pouvons plus rien que nous battre. Mowgli se leva, le pot de braise dans les mains. Puis il s’étira et bĂąilla au nez du Conseil ; mais il Ă©tait plein de rage et de chagrin, car, en loups qu’ils Ă©taient, ils ne lui avaient jamais dit combien ils le haĂŻssaient. — Écoutez ! Il n’y a pas besoin de criailler comme des chiens. Vous m’avez dit trop souvent, cette nuit, que je suis un homme et cependant je serais restĂ© un loup, avec vous, jusqu’à la fin de ma vie ; je sens la vĂ©ritĂ© de vos paroles. Aussi, je ne vous appelle plus mes frĂšres, mais sag chiens, comme vous appellerait un homme
 Ce que vous ferez, et ce que vous ne ferez pas, ce n’est pas Ă  vous de le dire. C’est moi que cela regarde ; et afin que nous puissions tirer la chose au clair, moi, l’homme, j’ai apportĂ© ici un peu de la Fleur Rouge que vous, chiens, vous craignez. Il jeta le pot sur le sol, et quelques charbons rouges allumĂšrent une touffe de mousse sĂšche qui flamba, tandis que tout le Conseil reculait de terreur devant les sauts de la flamme. Mowgli enfonça la branche morte dans le feu jusqu’à ce qu’il vĂźt des brindilles se tordre et crĂ©piter, puis il la fit tournoyer au-dessus de sa tĂȘte au milieu des loups qui rampaient de terreur. — Tu es le maĂźtre ! fit Bagheera Ă  voix basse. Sauve Akela de la mort. Il a toujours Ă©tĂ© ton ami. Akela, le vieux loup farouche, qui n’avait jamais implorĂ© de merci dans sa vie, jeta un regard suppliant Ă  Mowgli, debout prĂšs de lui, tout nu, sa longue chevelure noire flottant sur ses Ă©paules, dans la lumiĂšre de la branche flamboyante qui faisait danser et vaciller les ombres. — Bien ! dit Mowgli, en promenant avec lenteur un regard circulaire. Je vois que vous ĂȘtes des chiens. Je vous quitte pour retourner Ă  mes pareils
 si vraiment ils sont mes pareils
 La Jungle m’est fermĂ©e, je dois oublier votre langue et votre compagnie ; mais je serai plus misĂ©ricordieux que vous parce que j’ai Ă©tĂ© votre frĂšre en tout, sauf par le sang, je promets, lorsque je serai un homme parmi les hommes, de ne pas vous trahir auprĂšs d’eux comme vous m’avez trahi. Il donna un coup de pied dans le feu, et les Ă©tincelles volĂšrent. — Il n’y aura point de guerre entre aucun de nous dans le Clan. Mais il y a une dette qu’il me faut payer avant de m’en aller. Il marcha Ă  grands pas vers l’endroit oĂč Shere Khan Ă©tait couchĂ©, clignant de l’Ɠil stupidement aux flammes, et le prit, par la touffe de poils, sous le menton. Bagheera suivait en cas d’accident. — Debout, chien ! cria Mowgli. Debout quand un homme parle, ou je mets le feu Ă  ta robe ! Les oreilles de Shere Khan s’aplatirent sur sa tĂȘte, et il ferma les yeux, car la branche flamboyante Ă©tait tout prĂšs de lui. — Cet Ă©gorgeur de bĂ©tail a dit qu’il me tuerait en plein conseil, parce qu’il ne m’avait pas tuĂ© quand j’étais petit. Voici
 et voilà
 et voilà
 comment nous, les hommes, nous battons les chiens. Remue seulement une moustache, Lungri, et je t’enfonce la Fleur Rouge dans la gorge ! Il frappa Shere Khan de sa branche sur la tĂȘte, tandis que le tigre geignait et pleurnichait dans une agonie d’épouvante. — Peuh ! chat de jungle roussi, va-t’en maintenant, mais souviens-toi de mes paroles la premiĂšre fois que je reviendrai au Conseil du Rocher, comme il sied que vienne un homme, ce sera avec la peau de Shere Khan sur ma tĂȘte. Quant au reste, Akela est libre de vivre comme il lui plaĂźt. Vous ne le tuerez pas, parce que je ne le veux pas. J’ai idĂ©e, d’ailleurs, que vous n’allez pas rester ici plus longtemps, Ă  laisser pendre vos langues comme si vous Ă©tiez quelqu’un, au lieu d’ĂȘtre des chiens que je chasse
 ainsi
 Allez ! Le feu brĂ»lait furieusement au bout de la branche, et Mowgli frappait de droite et de gauche autour du cercle, et les loups s’enfuyaient en hurlant sous les Ă©tincelles qui brĂ»laient leur fourrure. À la fin, il ne resta plus que le vieil Akela, Bagheera et peut-ĂȘtre dix loups qui avaient pris le parti de Mowgli. Alors, Mowgli commença de sentir quelque chose de douloureux au fond de lui-mĂȘme, quelque chose qu’il ne se rappelait pas avoir jamais senti jusqu’à ce jour ; il reprit haleine et sanglota, et les larmes coulĂšrent sur son visage. — Qu’est-ce que c’est ? Qu’est-ce que c’est ? dit-il. Je n’ai pas envie de quitter la jungle
 et je ne sais pas ce que j’ai. Vais-je mourir, Bagheera ? — Non, Petit FrĂšre. Ce ne sont que des larmes, comme il arrive aux hommes, dit Bagheera. Maintenant, je vois que tu es un homme, et non plus un petit d’homme. Oui, la jungle t’est bien fermĂ©e dĂ©sormais
 Laisse-les couler, Mowgli. Ce sont seulement des larmes. Alors Mowgli s’assit et pleura comme si son cƓur allait se briser ; il n’avait jamais pleurĂ© auparavant, de toute sa vie. — À prĂ©sent, dit-il, je vais aller vers les hommes. Mais d’abord il faut que je dise adieu Ă  ma mĂšre. Et il se rendit Ă  la caverne oĂč elle habitait avec PĂšre Loup, et il pleura dans sa fourrure, tandis que les autres petits hurlaient misĂ©rablement. — Vous ne m’oublierez pas, dit Mowgli. — Jamais, tant que nous pourrons suivre une piste ! dirent les petits. Viens au pied de la colline quand tu seras un homme, et nous te parlerons ; et nous viendrons dans les labours pour jouer avec toi la nuit. — Reviens bientĂŽt ! dit PĂšre Loup. Ô sage petite Grenouille ; reviens-nous bientĂŽt, car nous sommes vieux, ta mĂšre et moi. — Reviens bientĂŽt ! dit MĂšre Louve, mon petit tout nu ; car, Ă©coute, enfant de l’homme, je t’aimais plus que je n’ai jamais aimĂ© les miens. — Je reviendrai sĂ»rement, dit Mowgli ; et quand je reviendrai, ce sera pour Ă©taler la peau de Shere Khan sur le Rocher du Conseil. Ne m’oubliez pas ! Dites-leur, dans la jungle, de ne jamais m’oublier ! L’aurore commençait Ă  poindre quand Mowgli descendit la colline, tout seul, en route vers ces ĂȘtres mystĂ©rieux qu’on appelle les hommes. . 278 286 361 437 37 18 449 490

dit leur de baisser la lumiere parole